Slalom de Camiers 2013

Dimanche 30 juin avait lieu l’édition 2013 du slalom en côte de Camiers. Malgré la saison estivale, c’est sous la brume que s’élançaient les concurrents.

Mayeur qui dominait dés le début de la journée, a finalement perdu sa place de leader dans la dernière manche au profit de Stéphane Dussart, ce dernier était sorti lors des essais suite à une glisse incontrôlée. Il termine alors second et Vincent Lechertier vient compléter le podium. Derrière lui, on retrouve Philippe Lassalle.

C’est Thomas Caron qui réalise une belle performance en plaçant sa Renault 5 GT turbo quatrième au scratch, première voiture fermée et logiquement premier du Groupe F. Michael Rambur prend la deuxième place alors que celui ci était là pour mettre au point la voiture qui venait de recevoir à nouveau le moteur d’origine.

En Groupe A, c’est Julien Lyoen qui s’impose devant son frère Valentin au volant tous d’eux de la clio.

Benoit Mouquet s’impose en groupe N, tandis que Guillaume Hermant termine deuxième.

A noter également la présence de Cyrille Kerdraon et de son père Philippe à bord de leur nouvelle acquisition, une magnifique Porsche Cayman S que l’on retrouvera au rallye de Boulogne.

Rallye d’ Epernay – Vins de champagne 2013

Ce week end avait lieu le 17ème rallye d’Epernay – Vins de Champagne. Au total, 144 équipages ont répondu présent pour ce rallye.

Ce rallye a débuté par une spéciale d’essai vendredi, suivi de la traditionnelle soirée des vignerons, puis des vérifications.

Les équipages se sont ensuite lancés à 15h16 dans la 1ère Epreuve Spéciale de 2,68km, dés celle ci, Gherardi et Viana ont lancé le rythme en positionnant leurs super 2000 devant les 4 WRC, dans la seconde spéciale, le pilote de la Ford Fiesta S2000 accentue son avance en tête.

Sur ce parcours qui se caractérise par une forte montée, les quatre roues motrices sont à la fête. Vauthier qui s’installe sur la dernière marche du podium, emmène le peloton des WRC. Fores avec sa 306 Maxi (Evo 7, moteur 280 ch) pointe en tête des deux roues motrices devant les Clio R3 de Deloy et Ferry.

Lors de la 3ème et plus grande spéciale, le manque de grip s’est fait ressentir et beaucoup de pilotes préféraient assurer plutôt que partir à la faute, cependant Ghérardi, fier de son choix de pneus et de son début de rallye, et Viana ne sont pas concernés, ils signent tous d’eux de très bons temps. derrière, on retrouve Vauthier, qui a calé a deux reprises dans la 1ère boucle Pereira et Barbara, qui apprend petit à petit la mini dans ces conditions. Ferry domine le groupe R, tandis que le spectaculaire Grosjean méne le f2000.

La deuxième boucle est ensuite lancée, elle se disputera en nocturne.

Vauthier signe son premier scratch, suivi de Ghérardi à 0,3s. Deloy reprend la tête en groupe R.

Ghérardi accentue encore son avance dans la dernière spéciale du jour, il annonce être confiant pour le lendemain.

Viana, handicapé par une rampe de phares qui ne permettait pas de voir suffisamment loin, cède du terrain sur Vauthier qui revient à 2s4, il reconnaît que pour une 1ère apparition, Ghérardi emmène très bien sa fiesta. Barbara, qui redoutait de perdre du temps dans cette boucle, signe de très bons temps et prend la 4ème place. Perreira est victime d’une crevaison, cependant la perte est limitée puisqu’elle intervient près de l’arrivée. Giordano pointe le bout de son nez et s’impose dans le gr R, mais également prend la place de leader des deux roues motrices malgré une petite touchette.

La deuxième étape, démarrée en retard suite à un manque de commissaires, voit Alain Vauthier renoncer, suite à des problèmes mécaniques. Forés perd 9 minutes dans la première spéciale. Barbara signe dans cette spéciale son premier scratch, ceci lui permet de prendre la seconde place. Ghérardi le suit de près et ne concède que 4 secondes. Dans la spéciale suivante, José Barbara signe un nouveau scratch et reprend 1,4 secondes à Ghérardi, il annonce avoir trouvé le mode d’emploi de la Mini. Pereira signe son premier scratch dans la spéciale suivante, il revient à moins de 10 secondes de Viana et donc, du podium.

Lors de la seconde boucle de cette étape, Pereira pris la troisième place à Viana, ceci grâce à son deuxième temps scratch. Barbara commet une légére touchette et redoute une crevaison. Dans la spéciale suivante, Barbara signe un nouveau scratch, Pereira annonce alors avec humour qu’il va le pousser à la faute, mais sait pertinemment qu’aller chercher la seconde place va se révéler très difficile. Dans la dernière ES de cette boucle, le classement général restera identique.

La dernière boucle maintenant lancée, Ghérardi désavantagé par rapport aux WRC, laisse 10 secondes à Barbara, cependant, 30 secondes séparent encore les deux pilotes alors qu’il n’y a plus qu’une dizaine de kilomètres.

Dans la dernière ES, Ghérardi signe un nouveau scratch devant Barbara et Pereira, il remporte alors le rallye lors de sa première apparition en Champagne, on peut le considérer comme un sérieux prétendant à la victoire de la coupe de France des rallyes cette année.

 

José, lui, qui vient depuis plusieurs années pour remporter ce rallye, affirme revenir l’année prochaine, afin de tenter d’atteindre son objectif.

            

 

 

53ème Rallye du Touquet 2013

Après un shakedown plutôt mouvementé, les équipages se sont lancés vendredi matin dans la première ES, celle de Camiers, parsemée de pièges en tout genre et de routes dégradées.

Dés celle ci, c’est Eric Brunson qui s’impose et lance le rythme bien qu’il ai commis une petite erreur et roulé quelques mètres dans le bas côté.

Julien Maurin à l’attaque perd du temps en calant dans une épingle. Snobeck, lui a fait un tête à queue dés le premier virage. Beaubelique lui est déjà ralenti par un problème mécanique.

D’après Alain Lefrançois, des spectateurs jettent de la neige sur la route.

Lors de la seconde spéciale, Brunson accroît son avantage, il déclare être fier de son choix de pneus. Anthony Cosson et Alain Foulon perdent du temps suite à une crevaison dans cette ES.

L’épreuve suivante déroulée sous une météo plus clémente est toujours dominée par Eric Brunson qui s’est fait une frayeur en arrivant en fond de 6 sur une chicane placée différemment du roadbook, ceci lui coûte un passage dans un champ.

Cuoq cale et perd quelques secondes, cependant il est content de l’apprentissage de la voiture. Snobeck commet une petite erreur, cale et se retrouve face à un ballot de paille.

Le local Bayard est satisfait de partir dans l’ordre du classement, ce qui lui permet de bénéficier de conditions de route meilleures.

Beaubelique toujours victime de ses problèmes mécanique roule tranquillement et dit même conduire avec le coude sur la portière, son seul soucis est de ne pas gêner les autres en attendant de tenter une amélioration à l’assistance. Lefebvre envoi très fort et signe un meilleur temps que Cédric Robert.

Dans l’ES 4 déroulée sur le front de mer, Brunson signe encore un temps scratch devant Cuoq. Snobeck pointe en retard et écope d’une pénalité. Beaubelique n’a toujours pas résolu ses problèmes, il songe à abandonner.

Le leader Brunson se fait devancer par Cuoq dans la 5ème ES qui revient à moins de 10 secondes. Snobeck accumule les pénalités. Du côté de R2, Stéphane Lefevbre signe un bon temps, déçu de ne plus être en bagarre avec Robert contraint à l’abandon. Mordacq, ex vainqueur, se fait piéger dans cette spéciale et voit s’envoler quelques secondes.

L’épreuve suivante est marquée par un nouveau scratch de Brunson, Lefebvre se plaint d’une sensation bizarre au niveau du freinage.

Lors de cette dernière spéciale de l’étape du vendredi, Brunson signe le meilleur temps, il a maintenant 20 secondes d’avance sur Cuoq qui ne s’avoue pas vaincu pour autant. Maurin est victime d’une crevaison, il change sa roue pendant la spéciale.

Snobeck sort beaucoup, rate énormément de freinages. Lionel Baud casse le turbo de sa 307. Mauffrey se fait une frayeur, il part en tête à queue à 150km/h. Nantet a fait une erreur qui a failli le faire renoncer.

Du côté des R1, c’est Defert qui méne avec 30 secondes d’avance sur son poursuivant Garcia. En twingo r2, Audet est en tête devant Clairay.

La deuxième étape débute dans l’épreuve de Bourthes, remportée par Maurin suivi de Brunson. Cuoq fait un petit tout droit, Snobeck fait une erreur de parcours et doit revenir sur ses pas avant le départ. Lefevbre pense avoir un problème mécanique, il pense à un joint de culasse. Audet part à la faute, et se fait double par Clairay qui à la vue de son concurrent calme le jeu. Mauffrey subit un problème méca du au passage dans le gué.

Dans l’ES d’Hucqueliers, c’est Brunson qui signe le scratch, Snobeck a encore fait une erreur, il dit que le roadbook est incompréhensible. Maurin attaque, cependant son mauvais choix de pneus l’handicape légèrement. Lemonnier se sort dans cette spéciale. Lefebvre abandonne, suite à une sortie où il a tapé dans une charrue. Serieys sort et se pose quelques secondes dans un champ.

Lors du second passage dans l’ES de Bourthes, Maurin signe un scratch devant Cuoq qui revient peu à peu sur Brunson, celui ci ne compte alors plus que 16 secondes d’avance. Pierre Roché est victime d’une crevaison, mais décide de rallier l’arrivée avant de changer de roue, tout comme Lefrançois. Martin continue sa course tout en gérant son avance en r2.

Le départ de l’avant dernière ES est lancé, Cuoq signe le scratch. Snobeck tape un poteau de bois dans l’épingle de Remortier. Maurin a frôlé la sortie en doublant Snobeck, qui ne s’est pas dérangé. Lefrançois casse le levier de vitesse, est reste bloqué en deuxième.

Rallye du Touquet 2013 – Shakedown

Après l’épisode neigeux complétement fou, ce Touquet 2013 s’annonce tout aussi fou!

Les équipages sont à la limite avec des passages vraiment chauds!

Jean-Marie Cuoq se fait une frayeur en finissant dans un mur de neige, mais sans gravité. Brunson préfère lui aussi le champ à la route… Mauffrey s’est fait une chicane

D’un autre côté, Maurin et Lefevbre sur sa 208 R2 sont a leur aise, enchainant des passages impressionnants!

Ca va glisser demain!

Alpine revient aux 24H du Mans

Alpine revient en endurance et aux 24 Heures du Mans dès cette année après 35 ans d’absence!

Renault a annoncé le 5 novembre dernier le renouveau de la Marque Alpine avec la création de la Société des Automobiles Alpine-Caterham. En attendant la commercialisation du 1er véhicule prévue en 2016, de nombreuses opérations mettant en avant la marque Alpine ont été organisées par Renault, dont le Rallye Monte-Carlo Historique avec ses 5 berlinettes engagées en janvier dernier. Un nouveau cap est franchi avec le retour d’Alpine en endurance dès 2013, aux 24 Heures du Mans ainsi qu’aux European Le Mans Series.

C’est ainsi, qu’après avoir présenté lors du Grand Prix F1 de Monaco et au Mans Classic 2012 l’Alpine A110-50, véhicule anniversaire des cinquante ans de la célébrissime berlinette, Renault a engagé officiellement cinq Alpine A110 lors du dernier Rallye Monte-Carlo Historique où le public leur a réservé un accueil triomphal. Ces autos – et d’autres modèles de la marque créée par Jean Rédélé – ont ensuite été exposées au Salon Rétromobile début février.

Aujourd’hui, un nouveau pas important est franchi avec l’engagement dès 2013 d’une voiture prototype dans le très relevé Championnat ELMS (European Le Mans Series) ainsi qu’aux 24 Heures du Mans les 22 et 23 juin 2013.

La décision de revenir en endurance s’inscrit, elle aussi, dans l’histoire de la marque. Rappelons qu’Alpine a participé onze fois aux 24 Heures du Mans entre 1963 et 1978 avec 55 voitures d’usine. La marque y a tout remporté : l’Indice Energétique en 1964, 1965 et 1968, l’Indice de Performance en 1968 et 1969, sept victoires de classe et surtout la victoire au Classement Général Absolu en 1978 avec le prototype Alpine A442B piloté par Jean-Pierre Jaussaud et Didier Pironi. Ce succès avait été complété par la 4ème place de l’équipage Jean Ragnotti / Guy Fréquelin sur une autre Alpine A442.

Pour réussir ce retour, Alpine s’est associé à l’équipe Signatech de Philippe Sinault qui engagera un prototype LM P2 Alpine, avec un châssis motorisé par un moteur Nissan de 500 ch sur les cinq épreuves du Championnat ELMS. Le coup d’envoi sera donné à Silverstone le 13 avril prochain. Les pilotes en seront Nelson Panciatici et Pierre Ragues.

Le point d’orgue de cette saison sera bien sûr marqué par les 24 Heures du Mans, épreuve reine du calendrier sportif international. Le troisième pilote pour les 24 heures du Mans sera annoncé lors de la présentation de la voiture au Castellet le 24 mars 2013.

Pour Carlos Tavares, Directeur Général Délégué aux Opérations:

Le retour d’Alpine dès 2013 sur cette épreuve mythique des 24 Heures du Mans constitue le début d’une nouvelle aventure qui s’inscrit dans la durée. La profonde passion qui nous guide n’a d’égal que la frugalité de ce retour qui s’appuie sur l’engagement de nos partenaires et nos supporters que je tiens ici à saluer. Etape par étape, nous tenterons d’écrire collectivement une nouvelle page de l’histoire de cette grande marque française de voitures de sport qu’est Alpine.

Genève 2013: Alfa Romeo 4C

La voilà enfin, la version définitive de la 4C. Elle compléte la gamme Alfa composée uniquement de la viellissante Mito et de la Giuletta.

Fidèle au concept, rien n’a changé si vous ne la regardez pas dans les yeux… Des phares digne d’une Smart Roadster. On aurait préféré quelque chose de plus intemporelle sur une Alfa….

La 4C blanc nacré est une série de lancement limitée à seulement 1000 exemplaires dont 400 pour l’Europe. Elle se distingue par ses élements en fibre de carbone: supports de projecteurs, coques de rétroviseurs et spoiler. Disponible à la commande contre minimum 60000 euros, le prix s’est largement éloigné des 45000 euros initiaux.

La 4C classique arrivera au mois de septembre et sera semble t’il moins chère. Sa production sera limitée à 3500 exemplaires par an, dont 1500 pour le marché Européen. C’est donc le grand retour d’Alfa sur le continent Américain avec une propulsion légère (895kg) et puissante (240ch)!

Genève 2013: Ferrari LaFerrari

Ce n’est ni une F150 ni une F70, c’est LaFerrari! La Ferrari LaFerrari, un nom choisi par Luca Di Montezemolo lui même. Un nom qui résume à lui seul la position ultime et l’excellence de cette supercar.

Il faut dire qu’il n’y a rien qui n’impressionne pas en le regardant et en soufflant ses chiffres: Fabriquée à seulement 499 exemplaires, elle embarque le meilleur de la technologie du cheval cabré, celle de la F1 entre autres. Il faut dire que de l’autre côté de la Manche, la P1 se prépare à un duel de titans!

Au programme, c’est un V12 de 6.3L, 800ch et 700Nm qui anime la diva. Et comme si cela ne suffisait pas, le système HY-KERS permet d’obtenir 963ch et 900Nm. La boite est séquentielle 7 rapports avec palette au volant. Un volant digne d’une F1, il va s’en dire!

Elle assume ses 1255kg sur la balance, dont 140kg pour le système  HY-KERS complet . La répartition des masses se fait avec 41% sur l’avant et 59% sur l’arrière. Le centre de gravité est abaissé encore plus par rapport à une Enzo et la rigidité augmentée, au passage Fernando Alonso et Felipe Massa ont participé au développement de l’auto. Des appendices aérodynamiques actifs permettent d’optimiser les performances de l’auto. Il ne manque plus que les ailes pour en faire un avion de chasse! Le freinage est confié à Brembo, on trouve évidemment des disques en carbone céramique. Pirelli s’occupe des pneus, du 265/30 en 19 pouces à l’avant et  du  345/30 en 20 pouces à l’arrière.

Ca pousse forcément trés fort: 0 à 100 km/h en moins de 3sec, 0 à 200km/h en moins de 7sec et le 0 à 300km/h en moins de 15sec. La vitesse de pointe s’établit à 350 km/h.

Comme d’habitude, les 499 exemplaires serait déjà tous vendus! Sur le stand Ferrari, les autres modèles paraissent presque transparents…

Photos de la Ferrari LaFerrari à Genève

Photos officielles de la Ferrari LaFerrari

Genève 2013: La surprise Kia

Kia, the power to surprise, et pour le coup, ce n’est pas une mais deux surprises qui prônaient sur le stand du constructeur Coréen au salon de Genève.

La première c’est Pro Ceed’ GT, la ligne est réussie, avec une forte identité visuelle surtout sur la face avant. Les différences avec une Pro Cee’d classique sont discrètes mais efficaces. Une recette bien connue chez un constructeur Allemand.

Le profil de l’auto affiche une allure très européenne…

Tandis que le bouclier et les optiques jouent sur l’agressivité!

A l’arrière, on trouve une sortie d’échappement de chaque côté, une manière de la différencier de la version classique.

A l’intérieur, le tableau de bord est orienté vers le conducteur. Les baquets Recaro sont fidèles à la réputation de la marque.

Il faudra attendre juin 2013 pour faire rugir le 1.6 turbo de 204ch. Est ce suffisant pour rivaliser avec ses concurrentes? L’été s’annonce sympathique en tout cas!

La seconde surprise de Kia c’est la Provo, une provocation comme on aimerait en voir plus souvent.

Compacte, dynamique et surtout fun, voilà bien des adjectifs que l’on aime pour une auto.

Elle n’a certainement pas l’allure d’une Italienne, et ce n’est pas ce qu’on aurait voulu d’elle, mais elle affiche une sacré gueule et ça on adore!

A l’intérieur, l’ambiance est à la fois sportive avec le volant en peau retournée et les multiples cadrans, mais aussi chic avec les sièges en cuir capitonné.

Sous le capot, la Provo cache un 1.6L de 204ch… tiens tiens, associé à un moteur électrique de 45ch. Le concept est donc roulant!

A vrai dire, on aimerait vraiment qu’ils retirent le mot concept et qu’il la produisent ainsi chez Kia.

Hélas peu de chances de trouver les mêmes jantes en vente libre et les phares à LED animées.

Etre source d’innovation et qui plus est sportive, voilà le secteur sur lequel on n’attendait pas Kia. La marque applique son slogan The power to surprise à merveille!

Rallye des Routes du Nord 2013

Ce week end se déroulait le 28ème rallye des routes du Nord autour d’Armentières.

Les favoris hors jeu

Le favori Pol Lietaer se désista pour participer à un autre rallye en Belgique. Anthony Mortier quand à lui participa bien au Shakedown, mais malheureusement sa Subaru refusa de démarrer du parc fermé samedi matin, de plus, Anthony se blessa à la main, ce qui le contraint définitivement à l’abandon.

En A8W, Laurent Bayard fut le maître dés le début, mais également l’unique rescapé de ces routes piègeuses. Il remporte le rallye. En A8, Sébastien Deraedt menait, mais une erreur dans la lecture du roadbook le mis hors course comme plusieurs autres équipages, ce fut alors Vivien Macé qui pris la 1ère place de groupe ainsi que la 2ème place au général. Stéphane Lefevbre fut plusieurs erreurs le samedi, dont une qui lui a fait perdre environ 1 min 30, ce retard fut vite rattrapé le dimanche, puisqu’il remontait à la 5ème place dimanche, lors du 2ème passage, puisque le classement n’a subit aucun changement lors de la 1ère boucle qui fut neutralisée suite à l’arrivée de la neige qui rendait trop dangereux le passage des voitures. Cependant, une sortie de route lui couta l’abandon lors de la 11ème ES.

En F2000 14, Claudie Tanghe bien parti fut contraint lui aussi à l’abandon suite à la casse de l’embrayage sur sa BMW, Julien Baessens qui n’avait pas participé à un rallye depuis quelques années se remis dans le bain très rapidement et signait de bons temps, cependant une casse mécanique l’obligea à s’arrêter. Ces deux abandons lancèrent une lutte entre Francis Legrand et Yves Saint Requier, le dernier l’emporta pour 6 secondes.

En R3, c’est Sylvain Fouteret qui régnait en grand maitre et qui est même parvenu à se hisser à la 3ème place au général. En R2, Vic Heuninck s’imposa. Hervé Jean remporta le N3, en prenant la 10ème place au scratch. Yannick Delesalle termina 14ème au général, satisfait de l’apprentissage de la belle Cayman. En F2000 13, la lutte entre Samuel Waroquier et Loic Pomme cessa lors de la sortie de Samuel. En F2000 12, Gilles Berger qui menait subit un problème mécanique, additionné à une pénalité, celui-ci fut donc relégué à la 2nde place, dépassé par Romain Dufour, Jonathan Hennuyer vient compléter le podium. Eddy Bertin, habitué de la 1ère place en FN1 n’étonna personne en s’imposant dans la classe. Cependant, Baptiste Esclaffer montra le bout de son nez et pris la 2nde place, alors que ce rallye était le 1er avec cette voiture, celui-ci pourrait venir jouer les troubles fête lors des autres rallyes pour Eddy Bertin.

Cette édition fut marquée par un grand nombre d’abandons et des conditions climatiques peu communes.

@Bientôt, Fabien.

Photos du Rallye des Routes du Nord 2013

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