Présenté au Tokyo Motor Show, voici la Subaru BRZ STi Sport. Et contrairement à ce que son nom pourrait suggérer, il n’y a aucune modification sur le moteur.
Le 2.0L boxer conserve la même puissance que toutes les autres BRZ, c’est à dire 200ch. Cependant, cela ne signifie pas que Subaru a simplement mis des badges et des belles jantes. Pour s’appeler STi, Subaru a apporté des changements sur la direction, les suspensions, et des amortisseurs Sachs ont été installés. Bien entendu pour améliorer la maniabilité déjà exceptionnelle de cette voiture. On remarquera aussi les jantes 18″ qui mettent en valeur la Japonaise.
Seulement 100 exemplaires seront produits, toutes dans cette couleur grise spéciale.
Subaru USA a enfin levé le voile sur les BRZ Ts et WRX STI Type RA.
Subaru WRX STI Type RA
La WRX STI Type RA pour Record Attempt (la marque tentera le record du tour du Nürburgring dans la catégorie des quatre portes) dispose d’une aérodynamique travaillée et de son lot de pièces en carbone.
Sous le capot, la nouvelle admission, la cartographie spécifique et un échappement remanié permettent au moteur de développer désormais 310 ch.
Subaru BRZ tS
On attendait beaucoup de cette version tS de la BRZ. Hélas, il n’y a toujours aucune modification sur le moteur…
La marque s’est attardée à améliorer le châssis. Elle reçoit un nouveau berceau moteur, des suspensions réglées par STI et des jantes 18″ spécifiques chaussées en Michelin Pilot Sport 4.
A l’extérieur, la BRZ tS reçoit un costume complet STI: spoilers avant – arrière, jupes latérales et un aileron en carbone sur le capot.
Subaru assemblera 500 exemplaires de chaque modèle. Il est peu probable de les voir débarquer en Europe…
Comme sa cousine, la Toyota GT86, la Subaru se rafraîchit pour 2017.
Au programme, la marque Japonaise promet plus de performance grâce à un rapport de boite final raccourci et plus de puissance. Le moteur 2.0L boxer se voit affubler de 5 ch supplémentaires pour atteindre les 205 ch et 6,5 Nm de couple en plus. Cette hausse est due à une nouvelle prise d’air et un échappement retravaillé pour améliorer le flux d’air.
Le châssis est lui aussi revu avec de nouveaux amortisseurs et ressorts, ainsi qu’une plus grosse barre stabilisatrice à l’arrière. L’ESP est plus permissif et un système d’assistance au démarrage en cote fait son apparition.
Pour ceux qui veulent encore plus, il sera possible d’opter pour le pack Performance qui sera disponible avec la boite manuelle. Il propose des étriers Brembo et des disques plus larges, des jantes 17″ noires et des silentblocs Sachs Performance.
On notera un bouclier revisité pour la différencier de la génération précédente. A l’intérieur, un écran LCD apparait a coté du tachymètre derrière le nouveau volant.
Comme la BRZ tS 2014, la BRZ tS se réserve au seul marché Japonais… Tristesse.
Elle n’est pas pour autant dénuée d’intérêt même si le moteur reste ce bon vieux 2.0L boxer de 200 ch et 200 Nm. Les ingénieurs STI se sont attelés à sublimer le comportement de la BRZ.
Elle reçoit un nouveau kit aéro STI, des jantes 18″ STI, des freins Brembo et surtout un gros travail sur les suspensions et la rigidité de la caisse.
L’intérieur est badgé de partout STI, pour se rappeler au cas où du travail effectué sur les trains roulants, et surtout d’une plaque « tS Limited Edition 300 » car oui, il s’agit d’une série limitée, mais pas plus chère que la version classique: Une belle affaire!
Subaru dévoile à New York une BRZ STI Performance Concept, l’annonce d’un futur encore plus sportif pour le petit coupé?
Les modifications esthétiques sont nombreuses: bouclier avant plus agressif intégrant des Leds, jupes latérales, bouclier arrière intégrant un énorme diffuseur et une double sortie d’échappement, surmonté d’un gros aileron, le tout quasiment en carbone.
Et pour une fois, Subaru a touché au moteur de sa BRZ! En fait il provient carrément de la BRZ GT300 de compétition, soit environ 300 ch. Suspensions et châssis sont aussi lourdement revus en conséquence. En fait ça n’a plus grand chose d’une BRZ… mais ça a l’air quand même très sympathique!
Pour le moment il s’agit plus d’un exercice de style montrant les capacités des mecs de STI à créer une véritable GT à partir d’un simple coupé. L’espoir fait vivre… On y croit!
Encore une Subaru que l’on ne verra pas sur le vieux continent puisqu’elle se réserve pour son marché d’origine, le Japon, et sera limitée à 100 exemplaires par mois.
Cette BRZ Premium Sport Package reçoit des jantes STI 17″ et des coques de rétroviseurs noires. Aucune autre amélioration technique à signaler, rien sur le moteur, le châssis ou encore l’aéro.
L’intérieur se veut plus luxueux avec une sellerie bi ton du plus bel effet. Des touches d’alcantara et un boite à gant en faux carbone.
Disponible dès fin décembre contre environ 22 600 €.
Pour 2014, Subaru présente une BRZ légèrement modifiée. Vraiment très peu… Mais elle n’en a pas tellement besoin.
Subaru BRZ tS by STI
Ce que nous croyons être une version STI n’est en fait qu’une tS by STI. Ce qui signifie surtout que le moteur boxer de 200ch n’a subit aucune modification.
On se contentera d’améliorations au niveau châssis et esthétique. Afin d’accroître la maniabilité de l’auto, les trains roulants sont revus avec des jantes 18″ STI et pneus Michelin 225/40ZR18 Pilot Super Sport, des freins Brembo, des suspensions complétement nouvelles et une gestion électronique du contrôle dynamique du véhicule améliorée (VDC).
Le package GT ajoute des jantes 18″ noires badgées STI, un aileron ajustable en carbone et des baquets Recaro en alcantara.
Hélas Subaru réserve la commercialisation de son modèle uniquement pour le Japon. La production est limitée à 500 exemplaires dont 250 maximun avec le package GT.
Subaru confirme l’arrivée d’une version STI de sa BRZ via quelques clichés.
On s’était régalé lors de l’essai de la petite BRZ, une auto privilégiant le plaisir de conduire, mais la critique soulignait le plus souvent le manque de puissance avec « seulement » 200ch sous le capot.
Cette version STI devrait régler le soucis avec l’ajout d’un turbo qui devrait faire passer la puissance du boxer 2.0L à 300ch. Au passage le package aéro devrait être plus agressif.
Les autos d’aujourd’hui sont pour la plupart des objets qui vous emmenent d’un point A vers un point B. Il y a aussi des autos plus exotiques, plus chères, beaucoup plus chères mêmes que seul une élite peut s’offrir.
Et puis il y a la Subaru BRZ. Soeur jumelle de la Toyota GT86. Première impression: cet énorme sourire est une invitation pour une seule et unique chose: le fun!
Premièrement c’est une propulsion. Il est largement plus facile de s’amuser lorsque la puissance vient de l’arrière et l’on divise les taches: l’avant ne sert qu’a tourner, et l’arrière à propulser. La base. Et qui dit propulsion dit drift!
Pour être sur de réaliser des dérapages sans prendre de vitesse et toute sécurité, la BRZ ne reçoit pas d’énormes gommes trop collantes, non ce sont les mêmes qu’utilisent Toyota sur sa Prius!
Il n’est alors pas utile de trouver les écuries de Vincennes sous le capot. La BRZ se contente de ses 200ch.
Cela ne semble pas suffisant dans une auto moderne de 1239kg . C’est même la puissance des dernières citadines essayées ici. Mais ça l’est, juste suffisant pour la faire déraper et maintenir la glisse. Même si vous ne pouvez le faire, parce qu’évidemment, vous êtes sur la route. Mais vous pourriez.
L’auto dispose d’une sacré gueule, je ne pense pas que ce soit un avis purement personnel car elle en a dévissé des têtes sur la route. A moins que ce soit sa rareté, ce qui vous permettra de vous faire de nombreux amis parmi les badots mais aussi les subistes qui vous compteront parmi eux malgré l’absence de turbo et d’une paire de roues motrices.
Quoi qu’il en soit le long museau semble prêt à bondir, ce design est rendu possible grace à l’architecture du moteur: un boxer, 4 cylindes à plat donc. Et un travail énorme sur l’abaissement du centre de gravité.
Sous le capot, les deux constructeurs signent le moteur de leurs noms. Subaru a apporté le boxer, et Toyota l’injection D-4S. Le résultat en fait un excellent moteur de 2.0L pour 200ch et 205Nm. Sous les 4000 tr/min, cela sera parfait pour une utilisation quotidienne, au dessus, on commencera sérieusement à s’amuser pour allez chercher les 200ch à 7000 tr/min. Le rupteur se situant à 7500 tr/min. Il faut donc jouer du levier de vitesse et ne pas hésiter à prendre des tours, surtout que le couple est lui aussi haut placé: 6400tr/min! Cela bouleversa sans doute ceux qui s’étaient habitués au turbo downsizé… Mais cette prise de régime ne signifie pourtant pas consommation exhubérante! 11L aux 100 de moy sur les 1000km parcourus… sportivement!
A l’intérieur, les baquets enveloppent totalement. Les genoux ne touchent pas le volant pour mes 1m77. Tout tombe naturellement sous la main, volant, frein à main, et levier de vitesse.
Il reste quelques détails qui auraient pu être évités. Par exemple: 3 boutons dont un qui ne sert à rien, si disproportionnés, si mal implantés… Heureusement, ils sont vite oubliés!
Place aux vices, il est possible de désactiver l’ESP et le Traction Control, ce dernier se réactive automatiquement passé les 55km/h. L’électronique veille à votre sécurité, mais l’auto est tellement progressive que la savourer « nature » n’en sera que meilleur!
Pied sur l’embrayage, j’appuie sur le bouton magique pour réveiller la mécanique.
Le centre multimédia fait GPS, lecteur de carte SD (les cartes du GPS), autoradio mais permet aussi de régler ses périodes d’entretien.
Les compteurs rappellent ceux d’une moto, on va directement à l’essentiel: compte tours, vitesse, rapport enclenché, température et essence.
Allons directement à l’essentiel: la BRZ est une pure merveille à la conduite. La direction est sans faute, la conduite est sportive sans être éprouvante, la maniabilité est géniale.
Dès que les routes commencent à se tortiller, je frisonne de joie. Pourtant je ne suis pas à 200, non, il suffit de respecter les limitations de vitesse, enrouler les virages… Et savourer!
Du bon son dans la radio, je joue avec le levier de vitesse au débattement court et ferme.
Ce n’est pas une voiture, c’est un jouet qui cherche à vous flanquer le même sourire que sur sa calandre! Il suffit d’enchainer les kilomètres pour comprendre et en devenir complétement dépendant.
Les performances sont très correctes avec le 0 à 100 km/h abattu 7″6 sec et le 1000 m départ arrêté en 28″ sec.
S’il fallait lui trouver des défauts, on pourrait citer l’absence de radar de recul et un multimédia un peu faible. Pour le reste, ce n’est que du bonheur! Terriblement attachante et amusante à conduire pour le prix. C’est bien là une valeur qu’on ne retrouve sur aucune fiche technique. A essayer d’urgence.
On le savait déjà, la Subaru BRZ a de sérieuses prédispositions pour s’amuser sur circuit. Cette version RA Racing encore plus!
Elle reçoit des disques ventilés et refroidis grâce à de petits conduits d’air qui passent sous le bouclier pour offrir un freinage plus performant et un différentiel à glissement limité torsen. Le refroidissement du moteur est lui aussi optimisé avec l’ajout d’un petit intercooler.
A l’intérieur, le pilote est désormais maintenu par des harnais Takata et se retrouve protéger par un arceau.
Pour finir, sur les boucliers avant et arrière, on trouve un anneau de remorquage pour les jardiniers amoureux des bacs à gravier.
Malheureusement, elle est uniquement réservée au marché Japonais pour l’instant!
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