Essai Cupra Leon eHybrid

Avec une fiscalité de plus en plus punitive, on va voir de nombreux constructeurs se tourner vers les hybrides pour continuer à disposer de véhicules performants au cours des prochaines années. Cupra l’a bien compris et se lance déjà dans la course avec la nouvelle Cupra Leon eHybrid.

Design

Attention, ce n’est plus une Seat Leon Cupra, mais bien une Cupra Leon même si elle repose toujours sur une Seat… vous suivez?

Clairement identifié en tant que tel, le logo Cupra trône sur la calandre dont les prises d’air élargies soulignent son aspect plus affirmé. En continuant autour de la voiture, les jupes latérales renforcent le dynamisme tandis que les reflets chromés foncés, notamment sur le cadre de la calandre, les ailes avant et les rétroviseurs extérieurs, contrastent avec la couleur de la carrosserie. Ces éléments contribuent à offrir plus de personnalité à la nouvelle Leon. Mais comme c’était déjà le cas auparavant, la Leon reste relativement discrète.

Mon modèle d’essai disposait des jantes 19″ Willow Springs Black. Elles mélangent sportivité et aérodynamique en étant quasiment pleine et abritent des freins Brembo de 370 mm.

À l’arrière, les clignotants dynamiques et le bandeau lumineux à LED qui relie les deux phares, permettent d’identifier visuellement le véhicule comme sur Formentor, la signature lumineuse ne se fait pas qu’à l’avant désormais, il passe aussi par l’arrière! Le diffuseur et un grand spoiler ajoutent une allure sportive au style du véhicule. Je suis beaucoup moins fan des fausses sorties d’échappement couleur bronze par contre.

Visuellement, l’ensemble est cohérent et sobre, mais un poil haut pour moi.

Le spoiler améliore l’aérodynamique et le style de la Leon.

A l’intérieur

Une fois installé dans le siège baquet de série, je fais face au Digital Cockpit et au sympathique volant Cupra Supersport qui intègre le bouton de démarrage du moteur et le bouton de sélection du mode Cupra. L’ambiance est là!

Partout dans l’habitacle, les détails en cuivre et en chrome foncé apportent une touche subtile, notamment les éléments en aluminium foncé brossé, avec un effet de ton sophistiqué sur le tableau de bord et les portières, les seuils de portes avant éclairés, ou encore les panneaux de porte.

D’autre part, l’intérieur de la nouvelle Cupra Leon est désormais très généreux. Le conducteur comme les passagers avant et arrière, profitent de plus d’espace grâce aux dimensions du véhicule. Le coffre offre 270 litres pour cette version e-Hybrid alors que la version 5 portes « thermique » offre 380 litres. La Cupra Leon améliore l’expérience à bord grâce à un système d’éclairage d’ambiance entièrement à LED pour encore plus de personnalité dans l’habitacle. Celui-ci ne se contente pas d’être décoratif, il offre en outre plusieurs fonctions clés telles que l’Exit Assist (clignotement en orange en cas de danger ou en rouge quand la porte est ouverte).

Elle est aussi disponible avec le système BeatsAudio sound system, qui comprend 10 haut-parleurs premium de 340W ainsi qu’un caisson de basse de 10l situé dans le coffre.

Le bandeau LED qui enveloppe l’habitacle permet de changer d’ambiance rapidement.

Moteur

Sous le capot de cette Leon un peu spéciale, on trouve un 1.4L TSI de 150 ch et un moteur électrique de 116 ch, pour une puissance cumulée de 244ch ( et non pas 266 ch ) et 400 Nm de couple juste sur le train avant! Comme c’est une hybride rechargeable, elle dispose d’une batterie de 12,8 kWh rechargeable sur secteur (5H45 sur prise domestique classique, 3H45 de moins sur borne 3,7 kW) et permet une conduite 100 % électrique pendant 52 km!

la Cupra Leon e-Hybrid réalise l’exercice du 0 à 100 km/h en 6,7 secondes avec une vitesse de pointe de 225 km/h.

Elle démarre toujours en mode électrique quand la batterie est suffisamment chargée. Le moteur passe en mode hybride si la capacité de la batterie tombe en dessous d’un certain niveau ou si la vitesse est supérieur à 130 km/h. En mode hybride, le conducteur a la possibilité de maintenir le niveau de charge, de l’augmenter ou de le réduire à un certain niveau.

En fait, il y a un autre chiffre qui mérite d’être mentionné: le poids à vide de 1596 kg. C’est une bonne excuse pour recharger l’e-Hybrid à chaque fois que vous en avez l’occasion. Vous pouvez toujours conduire les batteries vides en utilisant juste le moteur thermique, mais c’est dommage de transporter tout ce poids pour rien…

Le nouveau volant Cupra Supersport.

Au volant

C’est parti! Et en silence. L’allure s’accélère rapidement et le moteur thermique se réveille pour apporter son renfort! La Leon a un châssis fondamentalement bien conçu: le fameux MQB Evo que l’on retrouve sur toutes les dernières compactes du groupe VW mais aussi le Formentor. Bien équilibré, ses qualités en font une expérience fluide et intuitive lorsqu’il s’agit d’aller rapidement d’un point A à un point B. La direction n’est pas des plus communicatives, mais elle est précise et la pondération constitue un bon compromis entre poids rassurant et effort modeste.

En ville, la consommation se fait contenue car la régénération et le mode 100% électrique permet de minimiser le recours au moteur thermique. Lorsqu’il s’agit de se faire plaisir, le train avant dispose d’une bonne adhérence, bien aidés par les pneus Goodyear Eagle F1 Super Sport qui vous aident à placer le nez de l’auto là où vous le souhaitez.

C’est assez vivant, puisqu’il s’agit d’une traction et que vous ressentez le poids de la mécanique hybride. Grâce au couple de 400 Nm, les reprises ne sont pas vraiment un problème, par contre lorsque la montée en régime se fait, on se rappelle qu’il s’agit d’un petit 1.4L et le moteur TSI s’égosille pour atteindre la zone rouge. Le mode Individual permet de désactiver grâce aux réglages indépendants de chaque élément (moteur, direction, sonorité, etc) l’horrible son moteur du mode Cupra. Une imitation d’un V8 synthétique envoyé via les haut-parleurs.

Finalement, c’est avec une conduite en ville la semaine et coulée à tendance dynamique le weekend que la Leon e-Hybride s’apprécie plus. Et surtout qu’on profite au maximum de son groupe moteur.

La Cupra Leon hybride surprend par sa douceur.

Conclusion

Avec sa Leon e-Hybrid 245 ch, Cupra apporte une lueur d’espoir pour des acheteurs étouffés toujours plus par les taxes.

Malgré son style et sa sobriété au quotidien, elle ne fera pas chavirer les cœurs des amateurs de conduite sportive: 245 ch et 400 Nm cumulés certes, mais près de 1 700 kg sur la bascule et des caractéristiques (sonorité, gestion de boîte, caractère moteur à haut régime) qui ne remplacent pas l’agrément d’une GTI 100 % thermique. Pour ça, il faudra attendre les Cupra Leon 2.0 TSI!

Photos de la Cupra Leon e-Hybrid

Fiche Technique de la Cupra Leon e-Hybrid 2020

MOTEUR
Type : 4 cylindres 1.4L turbocompressé + électrique
Cylindrée (cm3) : 1395
Puissance maxi : 245 ch
Couple maxi : 400 Nm
TRANSMISSION
Traction
Boîte de vitesses (rapports) : automatique (6)
POIDS
Données constructeur à vide : 1671 kg
Rapport poids/puissance (kg/ch) : 6,82
PERFORMANCES
Vitesse maxi : 225 km/h
0 à 100 km/h : 6″7
CONSOMMATION
Moyenne normalisée : 1,3 L/100 Km
CO2 : 29 g/Km
Puissance fiscale : 8 CV

Essai Seat Leon Cupra R ST

Même si Cupra est désormais une marque à part entière, la Leon reste une Seat même lorsqu’il s’agit d’une version très sportive comme cette Cupra R ST. La prochaine génération devrait bien différencier les choses mais en attendant, place à l’essai de cette ultime déclinaison…

Si vous aviez manqué la série limitée à 799 exemplaires de la Leon Cupra R, voici l’occasion de vous rattraper avec le break R ST. C’est encore une série limitée qui reçoit des modifications esthétiques et techniques par rapport à la Cupra ST classique, mais la recette est un peu différente que sur la version berline.

Design

J’avais gardé un très bon souvenir de la Leon Cupra ST, discrète et très efficace. La Leon Cupra R ST joue dans un registre un peu moins discret. On remarque les touches de bronze ici et là, mais surtout le carbone présent presque partout que ce soit à l’avant dans la lame, à l’arrière dans le spoiler et le diffuseur mais aussi sur les côtés avec les coques de rétroviseurs et bas de caisse. Seat signale même que l’aérodynamique en serait même amélioré!

Elle embarque des jantes 19″, ici de couleur bronze, qui cachent d’énormes freins Brembo. Les pneus sont des Michelin Sport CUP 2, connus pour être de véritables ventouses. Vous remarquerez également les logos Seat de couleur bronze, mais qu’il n’y a aucun logo de la nouvelle marque Cupra, juste un badge sur le coffre. D’ailleurs restons sur cette partie arrière, lorsque l’on baisse le regard, dur de rater les 4 sorties d’échappements.

Elle sera disponible en 4 teintes: Gris magnétique, noir minuit, blanc nevada ou gris urbain. Peu importe la couleur, le bronze se marie parfaitement avec et le résultat est soigné.

Moteur

Si la Cupra R embarque le 2.0L EA888 dans une configuration 310ch, la Cupra R ST se « contente » de 300 ch et 400 Nm de couple! Rien de vraiment grave puisque que cette dernière dispose de la transmission intégrale et d’une boite DSG. Résultat? Elle est capable d’accélérer beaucoup plus fort! Le 0 à 100 km/h est réalisée en 4.9 secondes seulement comparé aux 5.8 secondes de la berline! La vitesse maxi grimpe à 250 km/h.

Le 2.0L est bien rempli pour répondre à la moindre sollicitation de l’accélérateur. Et lorsqu’on active le mode Cupra, il sait donner de la voix pour embaumer l’habitacle d’une ambiance sonore des plus sportives!

A l’intérieur

L’intérieur est à la hauteur du design extérieur. A la fois sobre, élégant et efficace. La Leon Cupra R ST a le droit au digital cockpit et dispose de touches de carbone et de bronze ici et là.

L’équipement de série est très complet, on trouve le système d’ouverture sans clé, l’aide au stationnement avant et arrière, la caméra de recul, et un écran central de 8 pouces.

Les baquets maintiennent parfaitement, beaucoup mieux que la banquette arrière sur laquelle vos passagers risquent d’être fortement secoué si vous décidez d’augmenter le rythme. Encore pire si vous revenez du supermarché… Seul avantage, les surgelés n’auront pas le temps de décongeler! Car le volant recouvert d’alcantara et le son de l’échappement ne sont pas vraiment une invitation à la conduite douce.

Au volant

La Leon Cupra R ST ne s’arrête pas au look pour se distinguer de la Cupra ST. Les ingénieurs ont travaillé pour qu’elle ait un comportement encore plus incisif. Elle bénéficie de réglages d’amortissement et d’une géométrie spécifiques, avec notamment un carrossage négatif de 2° à l’avant comme à l’arrière. La direction a également été re-paramétrée et le freinage est confié à Brembo. Cerise sur le gâteau, les semis-slicks Michelin Pilot Sport Cup 2 sont de la partie!

Seat nous a fermé une portion de route pour lâcher les chevaux de cette Leon Cupra R ST, et à chaque passage, j’étais de plus en plus impressionné des capacités de l’auto! Une vidéo que vous pouvez retrouver ici sur mon premier passage.

La boîte DSG enchaîne les rapports et le moteur semble infatigable. Toute la puissance est parfaitement transmise grâce à la transmission intégrale. Ça accélère aussi vite que ça freine. Le train avant se place là où on se veut, tout est tellement facile. Et comme un sportif de haut niveau, lorsque ça semble facile, c’est qu’il y a beaucoup de travail derrière!

Bien sur, il est toujours possible de passer en mode Confort pour assouplir la suspension, relaxer la réponse à l’accélérateur, et voyager dans un confortable break. Mais si vous avez fait le choix d’acquérir une Leon Cupra R ST, ce n’est peut être pas pour ce genre de balade tranquille, sachez juste qu’elle en est tout à fait capable.

Conclusion

Break contre berline, transmission intégrale contre traction, boite auto DSG contre boite manuelle… La Leon Cupra R ST n’a plus grand chose à voir avec la Cupra R. Cela se ressent immédiatement au volant, mais elle est toujours un plaisir à emmener. En deux mots: Efficacité et élégance.

A cela elle ajouter un côté pratique et sécurisant car c’est aussi… un break!

Photos de la Seat Leon Cupra R ST

Notation

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Fiche Technique Seat Leon Cupra R ST

MOTEUR
Type : 4 cylindres
Position : Avant
Alimentation : Turbo
Cylindrée (cm3) : 1984
Puissance maxi (ch à tr/mn) : 300 à 5300
Couple maxi (Nm à tr/mn) : 400 à 2000
TRANSMISSION
Intégrale
Boîte de vitesses (rapports) : Automatique (7)
POIDS
Données constructeur DIN à vide (kg) : 1615
Rapport poids/puissance (kg/ch) : 5.44
PERFORMANCES
Vitesse maxi (km/h) : 247
0 à 100 km/h : 5″2
CONSOMMATION
Moyenne normalisée (L/100 Km) : 7,0
CO2 (g/Km) : 155

Lancement de la nouvelle marque sportive et raffinée Cupra

Jeudi 22 février 2018, direction Barcelone pour une annonce de taille: Le lancement officiel de Cupra, une nouvelle marque dotée de sa propre identité. Désormais, CUPRA, qui a toujours incarné l’expression ultime de la sportivité de Seat aura son propre univers et ses modèles.

Un nouveau logo Cupra

Cupra devient donc une entité propre, pour développer des modèles en collaboration avec Seat. La marque bénéficiera d’un espace de vente dédié auprès d’environ 260 concessionnaires que Seat a spécialement sélectionnés dans toute l’Europe.

De plus, Cupra va également englober l’intégralité de la division du sport automobile et de la course, un domaine qui était jusque-là sous la responsabilité de Seat Sport et qui sera directement intégré à la nouvelle marque.

Pour identifier un modèle Cupra en tant que tel, cela commence par le logo. Celui ci est constitué de deux C en symétrie, il reflète les valeurs que la nouvelle marque souhaite transmettre : passion, précision, détermination et courage.

« Notre ambition pour la marque Cupra est de doubler les ventes dans les 4 à 5 prochaines années, en concentrant notre modèle économique sur quatre piliers principaux : la distribution, les partenariats, la course et le produit. »

Wayne Griffiths, vice-président des ventes et du marketing de SEAT

Afin de créer un univers autour de la marque, Cupra s’est associé à de petits studios qui développeront des produits exclusifs et en édition limitée, comme L.G.R., Trakatan et Fabike… Cupra collabore également avec Dainese, Ninco et d’autres marques pour accompagner et partager sa passion de la course, de la technologie et de l’innovation.

Cupra Ateca, le premier modèle de la marque

Le premier modèle de la marque a proprement parlé est donc le Cupra Ateca, un SUV qui s’annonce sportif.

À l’avant, sa grille supérieure est dotée d’alvéoles intérieures, avec le nouveau logo Cupra apposé au centre. Les lettres Cupra apparaissent en aluminium mat sur la grille inférieure. Un effet de style qui n’est pas sans rappeler le célèbre quattro chez Audi Sport.

On retrouve également des détails en noir brillant à l’extérieur: les rails de toit, les rétroviseurs extérieurs, le cadre des fenêtres, les moulures latérales, les jantes, la grille avant, les diffuseurs avant et arrière ainsi que les becquets qui encadrent la lunette arrière. Six couleurs de carrosserie seront disponibles : Energy Blue, Velvet Red, Brilliant Silver, Rodium Grey, Magic Black et Nevada White.

À l’intérieur, les panneaux de portes sont habillés en Alcantara tout comme les sièges. Parmi les principaux équipements en option, soulignons le pack Performance qui inclut des freins haute performance 18 pouces Brembo en noir, le pack Extérieur fibre de carbone pour le becquet arrière et les coques des rétroviseurs extérieurs, le pack Intérieur fibre de carbone pour un tableau de bord moulé en fibre de carbone, ainsi que les sièges en cuir. Les sièges baquets Cupra exclusifs seront disponibles à partir de mi-2019.

Sous le capot, on retrouve le 2.0L TSI de 300 ch associé à une nouvelle boîte de vitesses DSG à 7 rapports, spécialement perfectionnée pour offrir une manipulation plus sportive avec des changements plus rapides, plus souples et plus précis. Le développement de la boîte de vitesses a été modifié pour associer d’excellentes performances à des niveaux réduits de consommation et d’émissions. La Cupra Ateca peut atteindre une vitesse maximale de 245 km/h et accélérer de 0 à 100 km/h en 5,4 secondes seulement.

« Cupra Ateca offre une polyvalence sans égal chez aucune autre marque. Ce modèle est unique sur son segment, avec 300 ch, système 4Drive et nouvelle boîte de vitesses DSG à 7 rapports. Il incarne le meilleur exemple d’équilibre entre sportivité, plaisir de conduire et facilité d’utilisation au quotidien »

Dr Matthias Rabe, vice-président exécutif de la recherche et du développement de SEAT

Côté châssis, elle dispose de la transmission intégrale 4Drive. Il est optimisé pour fonctionner avec tous les modes de conduite : Normal, Sport, Individuel, Neige, Tout-terrain, et bien sûr, le mode Cupra. À la sélection du mode Cupra dans le profil de conduite, le moteur réagit immédiatement avec un son affiné et le réglage de la suspension adaptative est ajustée pour apporter une touche plus sportive à la voiture.

Cupra TCR, déjà dans la course

La Cupra TCR sera la première voiture de course de la marque. Elle concourra officiellement dans la série TCR dès la saison 2018. Bien entendu, elle affichera le nouveau logo à l’avant et à l’arrière, ainsi que la couleur cuivre officielle.

Cupra Ibiza, un simple concept pour le moment

À l’occasion de cet événement exclusif, un concept de Cupra Ibiza était présenté. Lors des essais de l’Ibiza Fr, Seat jurait qu’il n’y aurait pas de modèle sportif, en voilà la raison. Il démontre le potentiel de la nouvelle marque en termes de design et de technologie, ainsi que la possibilité d’étendre les éléments Cupra aux différents segments. On remarquera la très bonne intégration du logo dans la calandre et la reprise de la forme, le triangle, partout sur la voiture.

Jusqu’à présent, les détails restent minces, et Cupra est catégorique: ce n’est qu’une voiture d’exposition. On se doute que l’Ibiza devrait rapidement trouver la voie des concessions avec un quatre cylindres turbocompressé de 200 à 220 chevaux. Partageant sa plate-forme MQB-A avec la VW Polo GTI, qui utilise une version de 200 ch du moteur EA888 de 2.0L. On devrait logiquement aussi retrouver des freins plus puissants, des roues de 18 pouces enveloppées de pneus Michelin Pilot Sport 4 et une boîte de vitesses DSG.

SEAT Leon CUPRA R ST

La dernière Seat a recevoir le badge Cupra est donc la Seat Leon Cupra R ST. Assez étrange d’ailleurs qu’elle puisse encore exister… Ce break de chasse est équipé d’un moteur 2.0L TSI 300 ch, du système à quatre roues motrices 4Drive et de la boîte de vitesses DSG. Elle intégrera également des pièces aérodynamiques en fibre de carbone, un son d’échappement spécifique, des roues aspect cuivré et des freins haute performance.

Le modèle sera disponible à la fin de l’année et sera présenté au salon international de l’automobile de Genève.

L’électrique pour bientôt

Cupra devra disposer de 7 modèles d’ici 3 ans. Il suffit de jeter un œil à la gamme Seat et d’imaginer une version sportive pour chaque Seat (non pas l’Alhambra svp), apparemment aussi, Cupra ne disposera que de modèles dérivés de la gamme. Elle devrait certainement inaugurée avant la gamme Seat des motorisations hybrides voir totalement électrique d’après Luca de Meo, président de Seat.

L’histoire ne fait que commencer…

Seat Leon Cupra R, encore 10ch de plus

Alors que la Leon Cupra 300 a été lancé récemment, Seat ajoute au catalogue une Cupra R plus performante et exclusive. Cette série limitée sera produite à seulement 799 exemplaires.

10 par 10

Toujours une traction, elle établit un nouveau record de puissance pour une Seat de série : 310 ch. Pour rappel, à l’occasion du restylage opéré en début d’année, la Cupra était déjà passée de 290 à 300 ch. Les 310 ch seront exclusivement associés à la boîte manuelle six rapports.

Le constructeur ne communique pas encore sur d’éventuels gains côté performances.

Le grand méchant look

Si la Leon Cupra était connue pour être un sleeper: une voiture discrète capable d’envoyer du lourd. Cette Cupra R se fait beaucoup plus visible avec un pack aéro et une déco spécifique. Cela lui apporte une pointe d’agressivité bienvenue. Par contre pour les couleurs… Deux gris (dont un mat en photos ) et un noir seront disponibles, tous associés aux touches de cuivre.

Au passage le châssis est remanié au niveau de la géométrie des trains et de réglages de l’amortissement piloté. Le freinage Brembo est aussi plus endurant. La nouvelle ligne d’échappement devrait aussi produire un son encore plus flatteur.

Présentation à Francfort

La dernière Leon Cupra R remonte à 2009. A l’époque, la GTI espagnole développait 265 chevaux. Rendez-vous le 12 septembre durant les journées presse du salon de Francfort pour en savoir plus sur la Seat la plus rapide de l’histoire.

La Seat Leon Cupra désormais avec 300ch sous le capot

Quelques semaines après la révélation du facelift de la Leon, Seat présente aujourd’hui celui de la version Cupra.

Le 2.0L TSI passe de 290 à 300 ch et la Leon Cupra devient, encore une fois, la plus puissante Seat de l’histoire. Le couple gagne 30 Nm pour grimper à 380 Nm, disponible entre 1800 et 5500 tr/mn. Seat n’a communiqué aucun chiffre sur les performances pour le moment mais elle devrait au moins réaliser le 0 à 100km/h en 5.7sec.

Autre nouveauté, le break ST reçoit une transmission intégrale et une boite auto DSG, de quoi affoler les chronos.

On remarquera que les attributs de la Leon Cupra de TCR ( aileron, bouclier et jantes) sont savamment posés dans le cliché de cette nouvelle sportive.

Via Seat.

Essai de la Seat Leon Cupra 290 ch

C’est lors un roadtrip mémorable en Roumanie que j’ai pu apprécier la Seat Leon Cupra 290 ch. D’autant plus qu’elle était équipée du pack Sub’8 Black, synonyme de record sur le Nurburgring et donc de performances!

Extérieur

Discrétion assurée pour cette Leon.  La ligne de cette Cupra ne joue pas dans l’exubérance : petits logos et pas d’antibrouillards dans le bouclier avant. Pourtant un œil aguerri ne se trompera pas: la Cupra étant trahie par sa double sortie d’échappement et ses jantes de 19″. Elle se distingue également par ses jupes latérales ou encore sa calandre spécifique et son spoiler.

Seat propose au catalogue un pack energy (jantes et rétroviseurs orange) et d’un pack blanc. A mon gout, le pack black est celui qui lui va le mieux. Si les premières Cupra étaient proposées dans un jaune canari flashy, le nuancier des teintes extérieures en 2016 se composent de 3 gris, un blanc, un noir ainsi qu’un rouge et un bleu.

Seat mise donc sur la sobriété, s’inspirant presque du cousin germain Volkswagen. La ligne extérieure reste très agréable d’un point de vue personnel, surtout l’arrière.

Intérieur

Il en va de même pour l’habitacle, toujours plus germanique: Pas de fioritures! Les plastiques noirs sont de qualité et bien ajustés, mais manquent cruellement de fun. Le volant à méplat avec ses coutures jaunes et les compteurs badgés Cupra rappellent quand même le pedigree de l’auto.

Le maintien est assuré par des baquets sport bi-ton en suédine. Ils arrivent même à préserver le confort sur long parcours. Pour résumer, tout est très bien fait et sans fioritures.

De manière logique, la SC (coupé) propose l’habitacle le plus exigu, la berline facilite l’accès aux places arrières et la ST (break) y ajoute un volume de chargement conséquent, qualité insoupçonnable pour une sportive.

Moteur

Le 2.0 TSI issu du groupe VAG développe ici 290 ch. Une puissance bien suffisante pour le seul train avant.

La vitesse maxi, limitée électroniquement à 250 km/h, est atteinte avec une grande facilité tant ce quatre cylindres turbo fait preuve de vitalité. Doté de la double injection et du calage variable des deux arbres à cames, ce moteur est très souple, vigoureux et émet une sonorité rauque assez évocatrice (tout en restant discrète). Surtout associé à la boite DSG, qui produit une déflagration à l’échappement à chaque montée de rapport! Il faudra y aller fort pour l’entendre sur la boite manuelle. On pourra seulement reprocher à ce 2.0 TSI son extrême linéarité.

La version la plus rapide sur l’épreuve du 0 à 100 km/h est la SC associé à la boite DSG6: 5,6 sec seulement!

Châssis

La Leon dispose du Seat Drive Profile qui propose trois modes de conduite et un mode à la carte. Le mode confort adoucit la direction et les amortisseurs pour offrir un moelleux correct. Le mode sport affermit le tout, retarde l’intervention de l’ESP et amplifie la sonorité du moteur à l’accélération. Et enfin le mode Cupra, pour tirer la quintessence de la mécanique.

A l’usage, la Leon Cupra reste très facile à mener en conduite dynamique, que ce soit en boite DSG ou manuelle. Le train avant se place là où l’on veut, tandis que le train arrière suit sans broncher. On peut remercier le différentiel à glissement limité piloté électroniquement, qui renvoie la puissance sur la roue extérieure lorsque l’intérieure patine en virages. Ça motrice très fort avec quelques légères réactions dans le volant.

C’est sportif et terriblement efficace, que ce soit dans les épingles ou dans les grandes courbes. La direction est précise et l’amortissement contient bien les mouvements de caisse sans pour autant devenir cassant lorsque le bitume se dégrade (et il se dégrade très bien en Roumanie).

Equipée du pack Sub’8, la Leon disposait même des freins Brembo majorés à quatre pistons et des jantes allégées réduisant de 8,4 kg les masses non suspendues. Un freinage endurant qui permettra aux sportifs du weekend de s’aventurer sur circuit. Toujours en option, elle pourra même chaussée les fameux Michelin Pilot Sport Cup 2 qui lui ont permis de signer un temps inférieur à 8 minutes sur le circuit du Nürburgring.

Conclusion

La Seat Leon Cupra 290 épate par son incroyable polyvalence! Aussi à l’aise sur circuit que dans les bouchons avec en prime un tarif compétitif: L’Espagnole est en effet particulièrement bien dotée: différentiel autobloquant, suspension pilotée, phares full LED, GPS et caméra de recul sont de série!


Prix maximum TTC du modèle de base en boite DSG : 35 715 €

  • Blocage de différentiel mécanique à régulation électronique (VAQ)
  • SEAT Drive Profile CUPRA, 4 modes de conduite
  • Mode CUPRA avec désactivation de l’ESC
  • Suspension pilotée DCC (confort/sport/cupra)
  • Projecteurs Full LED et feux arrière à LED
  • Parechocs extérieurs CUPRA
  • Deux sorties d’échappement chromées
  • Etriers de freins rouge
  • Seuils de portes CUPRA en aluminium
  • Châssis sport CUPRA (-10mm vs Leon FR)
  • Vitres arrière surteintées
  • Rétroviseurs noirs
  • Climatisation automatique Climatronic
  • Radars de stationnement avant/arrière
  • Détecteur de pluie et luminosité
  • GPS Europe tactile, écran 6,5’’, fonction Full Link (MirrorLink® + Android Auto® + Apple CarPlay®)
  • Caméra de recul
  • Contrôle vocal
  • Prise USB et carte SD
  • SEAT Sound system (9 haut-parleurs et caisson de basses à faible encombrement)

Et comme options:

  • Pack Sub’8 Black (Jantes alliage CUPRA Performance 19’’ BLACK / Freinage Brembo avec étriers rouges / Jupes latérales / Pack extérieur BLACK / Kit anticrevaison (remplace la roue de secours de série):
    Avec pneumatiques standard à 2 170 € ou avec pneumatiques MICHELIN Pilot Sport Cup 2 à 2 625 €
  • Sièges baquet Top Sport Alcantara à 1 175 €
  • Blanc Nevada Métallisée à 645 €
  • pack Techno (Feux de route intelligents et Lane Assist) à 305 €
  • pack Adaptatif (Régulateur de vitesse adaptatif et Front Assist) à 485 €
  • Grand toit ouvrant à 810 €
  • Lecture des panneaux à 130 €

Elle s’affichait donc à 41 435,00 €

PHOTOS DE LA SEAT LEON CUPRA 290 ch

Fiche Technique
MOTEUR
Type : 4 cylindres en ligne, 16 soupapes
Alimentation : Turbo
Cylindrée (cm3) : 1984
Puissance maxi (ch à trs/mn) : 290 à 5900
Couple maxi (Nm à trs/mn) : 350 à 1700
TRANSMISSION
Traction
Boîte de vitesses (rapports) : Automatique (6)
POIDS
Données constructeur DIN à vide (kg) : 1395
Rapport poids/puissance (kg/ch) : 4,8
PERFORMANCES
Vitesse maxi (km/h) : 250
0 à 100 km/h : 5,6″
CONSOMMATION
Moyenne normalisée (L/100 Km) : 6,5
CO2 (g/Km) : 149
Malus : 900€
Puissance fiscale : 18 CV

Nos remerciements à Seat France.

A l’assaut de la Transfagarasan pour fêter 20 ans de Cupra!

Après avoir remporté en 1996 en rallye le championnat du monde catégorie 2.0L avec l’Ibiza Kit Car, Seat a voulu amener cette performance sur la route. Cupra est alors née (Contraction de Cup et Racing), tout d’abord sur Ibiza en 1996 puis sur la Leon en 2000.

20 ans plus tard, Cupra est toujours synonyme de sportivité: On trouve une Ibiza forte de 192 ch et une Leon de 290 ch au catalogue. Il y a deux ans, la Leon Cupra 280 ch faisait tomber un record sur le fameux Nurburgring: moins de 8 min pour réaliser un tour avec une traction de série. Cette année, elle se voit affublée de 10 ch supplémentaires pour atteindre les 290 ch.

Ce modèle, le plus puissant de l’histoire de Seat, va nous emmener à travers la Roumanie sur l’une des plus belles routes du monde: la Transfagarasan!

Jour 1 – Départ de Bucarest

Départ de Paris pour Bucarest. Là bas, une belle Leon Cupra nous attend sagement pour nous emmener sur les routes Roumaines après 3H de vol.

La capitale de la Roumanie ne laisse pas indifférent. Ancien Paris des Balkans, les avenues monumentales sont ponctuées de beaux jardins, parcs et ruelles étonnantes. La cité pratique le mélange des genres : l’architecture Art nouveau, Bauhaus, faux baroque ou néoclassique, laisse parfois la place à quelques monuments de l’époque du dictateur Ceauşescu.

Le premier arrêt s’effectue devant le palais du parlement. Immense et situé sur une colline surplombant le boulevard Unirii, il est le 2e monument du monde par sa masse, après le Pentagone. Haut de 12 étages et construit pour satisfaire les appétits de grandeur de Ceauşescu, cela donne une « belle » image de l’homme.

Pas le temps de s’attarder, il faut vite s’extirper de la capitale et de ses bouchons pour rejoindre l’hôtel à 210 km, soit prêt de 3H de route. Au fil des kilomètres, les stigmates du communisme sont encore bien présents par endroits. Le pays est rempli de contradiction: Les voitures de luxe se mêlent au Dacia de tous âges et même aux charrettes tirées par des chevaux.

Il en va de même pour l’architecture: le mélange des genres est surprenant entre les villes médiévales de Transylvanie, les châteaux, les églises en bois et les tours de béton…  des ensembles uniques au monde, classés d’ailleurs au Patrimoine mondial de l’Unesco.

La quantité d’animaux sur le bord des routes est aussi surprenant. Après quelques centaines de kilomètres, une halte à la station essence permet de remplir les réservoirs. Le service est encore effectué à la main.

L’état du réseau secondaire est redoutable pour les amortisseurs, la direction et les pneumatiques, de quoi tester parfaitement la Leon dans les pires conditions. D’ailleurs, il n’est pas étonnant de voir des petits ateliers de réparation pneumatique le long de la route car les crevaisons sont fréquentes.

On s’enfonce de plus en plus dans les campagnes. La population n’est plus la même, le style vestimentaire non plus. On n’a l’impression de faire un bond dans le passé, comme si des personnes d’époque différentes vivaient ensemble.

On quitte les campagnes pour arriver au pied des montagnes. Passage obligatoire pour y pénétrer, la Citadelle de Poenari surplombe la route. Auparavant point stratégique de contrôle du passage entre la Valachie et la Transylvanie érigé au début du xiiie siècle par les princes valaches. La citadelle est aujourd’hui abandonnée suite à son effondrement partiel dû à un glissement de terrain. Elle est surtout connue pour la légende de Vlad III l’Empaleur (alias Dracula) et est réputée pour être hantée.

Surprise, un ourson s’attarde sur le bord de la route. Les animaux sont nombreux, il faut dire que la forêt est toute proche et le pays encore très rural. Je découvre en même temps la raison du nombre incroyable de chiens errants: ils servent à protéger les villes de la venue des ours!

Puis vient le passage du barrage Vidraru. Haut de 166m, il ne faut pas avoir le vertige! Le travail des hommes est remarquable, et on n’ose imaginer les conditions pour la réalisation d’un tel édifice. On parle de 80 morts officiels. De l’autre côté du barrage, sur la montagne Pleasa, se trouve la statue de Prométhée comme un symbole de l’électricité, faite par le sculpteur Constantin Popovici.

On arrive enfin à l’hôtel qui surplombe le lac Vidraru créé par le barrage pour une nuit bien méritée.

Jour 2 – La Transfagarasan

Cette deuxième journée débute au pied de la Transfagarasan. Encore un peu d’histoire. La route a été construite entre 1970 et 1974, sous le régime de Nicolae Ceaușescu (encore lui). Elle relie Curtea de Arges au sud et Cartisoara au nord. Mais pour y arriver, il faut passer les monts Fagaras, dont elle tire son nom, culminant à 2 544 mètres d’altitude.

Après avoir gravi le versant sud, un tunnel de trois kilomètres, non éclairé, m’emmène jusqu’au point culminant de la route. On y croise des piétons munis de lampe torche. C’est aussi un endroit rêvé pour faire vrombir le moteur de la Cupra!

La vue est tout simplement magnifique, impressionnante et impose l’humilité! Si vous connaissez le jeu Need For Speed, le voici en réel. Et la Cupra est un très gros jouet pour y prendre son pied!

Cette route, longue de 100 km, on la fera deux fois. Juste pour le plaisir… Son histoire est par contre terrifiante: Elle a été réalisée avec des moyens matériels considérables, mais également au prix de beaucoup de vies humaines (là encore). Officiellement il y a eu 40 morts lors de la réalisation de la route, mais les personnes encore en vie 35 ans après parlent de centaines de vies humaines perdues, environ 400 personnes.

La fin de la seconde journée approche. On arrive au second hôtel, après avoir traversé Rasnov et sa citadelle. Elle a fait parti d’un système de défense des villages Transylvanien exposés aux invasions, et ne fut conquis qu’une seule fois en 1612 à cause du manque d’eau suite à un siège. C’est ainsi que la légende du puit est née: on dit que deux prisonniers Turques auraient creusé pendant 17 ans un puit de plus de 100 m de profondeur!

Jour 3 – De Brasov à Bucarest

Le retour se fera plus calmement à partir de Brasov. En empruntant les autoroutes et nationales plus rectilignes. On découvre des bâtiments toujours aussi impressionnant. Les couleurs des villes rappellent le drapeau national: Beaucoup de toits sont bleus et les murs jaunes.

Après 166 km et 2H30 en voiture, nous voilà de nouveau à Bucarest. Il est l’heure de rentrer en France après avoir pu essayer la Seat Leon Cupra 290 ch de manière complétement folle sur l’une des plus belles routes du monde. On a pas tous les jours 20 ans!

Toutes les photos de ce roadtrip à travers la Roumanie

Merci à Seat France pour cette aventure incroyable.

Seat passe à la Leon Cupra 290

Seat a annoncé une mise à jour de sa Cupra, qui développe désormais 290 ch comme son nom l’indique. Elle remplace logiquement la Cupra 280 qui est disponible en 3 carrosseries différentes: Coupé, berline et break.

Malgré les 10 ch supplémentaires et les 350 Nm de couple désormais disponible de 1700 à 5800 tr/min, les performances n’évoluent pas. Le 0 à 100 km/h  s’effectue toujours en 5,7 sec équipé de la boite DSG et 5,8 sec en boîte mécanique tandis que la vitesse maxi est de 250 km/h.

La consommation augmente de 0,1L sur chaque type de transmission.

Seat continue de proposer le pack Performance en option, il est composé de freins Brembo, des jantes exclusives et de pneus plus performants.

Via Seat.

Photos de la Seat Leon Cupra 290

La Seat Leon ST Cupra 280 est le break le plus rapide du Nurb

Avec un temps de 7:58.12 minutes, la Seat Leon ST Cupra 280 est le break le plus rapide sur le fameux Nurburgring.

Piloté par le pilote Espagnol Jordi Gené, il a su tirer le meilleur du 2.0L TSI de 280 ch et 350 Nm pour établir le record, utilisant la boite manuelle à 6 rapports ( DSG en option ). La Seat était équipée du pack Performance, d’un différentiel à glissement limité à l’avant et du Dynamic Chassis Control.

Elle sera également présente au Wörthersee, la grande messe du groupe VAG. Exposée avec le pack Cupra Noir, un gris Dynamique, des jantes 19″, des jupes latérales et des freins Brembo.

Via Seat.

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