Essai VW T-Roc Cabriolet: unique !

Voici la seule Volkswagen à toit souple disponible sur le marché! Maintenant que la Golf Cabrio et la Beetle Cabrio sont mortes et que l’Eos n’est plus qu’un lointain souvenir, le seul cabriolet VW en vente à le droit également à son restylage comme le T-Roc classique.

Un SUV décapotable

Dans l’histoire de l’automobile, les SUV cabriolet se comptent sur les doigts d’une main. Et aujourd’hui, un doigt suffit puisque le T-Roc Cabriolet est le seul de son espèce. Volkswagen en a déjà écoulé 2 400 en France et depuis la disparition du Range Rover Evoque Cabriolet, la route est libre pour en vendre davantage.

Vous remarquerez qu’il n’y a que 2 portes mais 4 vraies places. L’ouverture du coffre est réduite, mais surplombé d’un petit aileron en queue de canard. Et c’est toujours aussi haut qu’un SUV. C’est simple et efficace.

Pour 2022, Il profite comme le reste de la gamme des éléments qui ont été modifiés par ce restylage, à savoir les nouveaux projecteurs Matrix LED avant ainsi que le bandeau lumineux qui court sur la calandre et les feux de jours verticaux. À l’arrière, les feux sont aussi nouveaux de même que le pare-chocs. Dans cette finition R-Line, le bouclier avant et arrière reprennent ceux de la version R de 300 chevaux. Une motorisation qui n’existe pas avec la carrosserie cabriolet.

Deux ans après la commercialisation des premiers T-Roc Cab, il reste surprenant. Esthétiquement si vous aimez le T-Roc, vous ne serez pas surpris par sa déclinaison à toit souple. Pour ma part, c’est son existence même qui m’étonne. Dans un monde où l’on rationalise tout, il a la fraicheur d’amener une approche diffèrente de l’automobile.

Deux portes en moins

À bord, le Volkswagen T-Roc Cabriolet reste avant tout un T-Roc. Il perd une place mais conserve une habitabilité convenable. La banquette est rabattable en 50/50 et le coffre est de 280 litres. Il est important de souligner que les places arrière ne sont pas une punition contrairement à beaucoup de cabriolets. Bien entendu, Il reprends les améliorations comme les éléments moussés nettement plus valorisants. Les contre-portes adoptent un garnissage en similicuir. Le changement est à souligner donc, mais c’est surtout au niveau de la technologie embarquée que la VW muscle son jeu.

Le T-Roc gagne la nouvelle Climatronic bi-zone tactile vue sur Polo restylée (entre autres). Il y a aussi ce joli volant capacitif avec ses palettes pour la boite DSG et ses pavés tactiles assez pratiques. Par contre, je n’aime pas trop le laquage noir sur ce nouveau levier de vitesse, mais soit.

Le Digital Cockpit s’affiche sur une dalle de 8 pouces, tandis que le Digital Cockpit Pro profite d’une plus grande dalle de 10,25 dès la finition Style. Au milieu de la planche de bord, l’écran tactile est désormais posé et non plus intégré. Il peut atteindre 9,2 pouces dans sa version Discover Pro. Par la même occasion, les aérateurs centraux ont été élargis, tandis que la panoplie technologique s’est enrichie des services We Connect Plus, Apple CarPlay et Android Auto sans fil. 

On pourra aussi citer les aides à la conduite comme le dispositif IQ Drive Travel. Mais aussi le régulateur de vitesse prédictif ACC et les fonctions étendues du système Side Assist qui lui offrent une conduite semi-autonome de niveau 2 fonctionnelle jusqu’à 210 km/h.

Moteurs

Au niveau des motorisations, le T-Roc Cabriolet n’en dispose que de deux, uniquement en essence:

  • 1.0 TSI à trois cylindres de 110 ch associé à la boite mécanique.
  • 1.5 TSI à quatre cylindres de 150 ch associé à la boite automatique DSG

C’est bien sur cette dernière que j’ai eu la chance d’essayer. A noter que la gamme est aussi simplifier par rapport au T-Roc classique puisqu’on ne trouve que deux finitions: R-Line et Style.

Pour ma part, j’éviterais le 110 ch. Bien entendu, il s’agit de la version la plus légère alors qu’elle est équipée du moteur trois cylindres de 1,0 litre et d’une boîte de vitesses manuelle. Mais c’est tout de même 1 487 kg, soit près de 200 kg de plus que son cousin à toit rigide à cinq portes. Cela demande beaucoup à un moteur de 999 cm3, qui fait un excellent service dans des voitures plus petites comme la Polo.

Alors, c’est pourquoi le 1,5L de 150 ch reste le meilleur choix, même si cela augmente encore la masse avec 1540 kg sur la balance. Le plus gros moteur est associé à la boîte de vitesses automatique DSG à sept rapports, qui correspond le mieux au caractère du T-Roc Cabrio: les balades tranquilles. Ainsi équipé, le T-Roc Cabriolet réalise le 0 à 100 km/h en 9,6 secondes. Pas la peine de le cravacher donc, la DSG fera quand même de son mieux.

Au volant du T-Roc Cabriolet

Lors de cet essai autour de Perpignan à El Port en passant par Collioure, le T-Roc Cabriolet allait me permettre de profiter de son principal atout: son absence de toit. Et ce n’est pas la météo peut clémente qui allait m’arrêter l’envie de profiter du paysage.

Une fois installé à son volant, il ne faut que 9 secondes pour rabattre la capote triple couches ( et 11 secondes dans l’autre sens). L’opération peut se faire jusqu’a 30km/h. A vrai dire, il est surprenant de se retrouver sans toit à telle hauteur. Ce n’est pas commun d’être dans un SUV découvrable. D’ailleurs si vous pensez cabriolet, je ne suis pas sur que ce soit la première voiture qui vous vienne à l’esprit! La surface vitrée de la voiture est haute, vous êtes donc bien isolé des courants d’air avec le toit baissé. Et pour les plus frileux (comme moi), il suffit d’allumer les sièges chauffants.

C’est parti pour envoyer du lourd une balade le long du littoral. Un itinéraire pyrénéen exceptionnel qui longe la Méditerranée. L’ensemble moteur et boite de vitesses permet de cruiser confortablement, le 1,5L TSI de 150 chevaux et 250nm de couple sait se faire discret, de même que la boîte DSG à 7 vitesses passe ses rapports toujours de manière très rapide et sans se faire sentir. Le T-Roc Cabriolet n’échappe pas au défaut physique d’un cabriolet: une prise de poids de presque 200 kg pour renforcer le châssis par l’ajout de renforts de châssis, et tout de même un peu plus de roulis. Rien de méchant toutefois.

Le retour sur Perpignan se fera par l’autoroute. L’occasion de refermer le toit et d’être surpris par le silence. En effet, la capote à trois couches est bien hermétique. Un bel atout.

Conclusion

Finalement, la VW T-Roc cabrio est une auto sympathique. Avec une position de conduite élevée, une conduite confortable et le fait qu’il offre des places adultes à l’arrière, il peut à peu près combiner la vie de famille avec l’excitation du vent dans les cheveux.

Elle peut être l’auto idéale si votre dos vous rend incapable de descendre de votre MX-5 dignement? En tout cas, elle m’a rendu nostalgique de l’époque de la Golf Cabrio…

Notation

Design
8.5
Vie à bord
8.5
Performances
7
Plaisir de conduite
8
Capote bien isolée
Confort
Techno
Petit coffre
8

Photos du Volkswagen T-Roc

Fiche technique de la VW T-Roc Cabriolet 2022
MOTEUR
Type : 4 cylindres turbo
Position : Avant
Cylindrée : 1498 cm3
Puissance maxi : 150 ch
Couple maxi : 250 Nm
TRANSMISSION
Traction
Boîte de vitesses (rapports) : automatique (7)
POIDS
Données constructeur à vide : 1540 kg
PERFORMANCES
Vitesse maxi : 205 km/h
0 à 100 km/h : 9″6
CONSOMMATION
Moyenne normalisée : – L/100 Km
CO2 : – g/Km
Puissance fiscale : 8 CV

Essai VW T-Roc 2022 : encore mieux !

C’est en 2017 que le T-Roc est arrivé sur le marché. Et oui déjà! J’avais d’ailleurs pu en prendre le volant au Portugal dans sa version TSI 190ch. Depuis, le T-Roc s’est déjà écoulé à plus d’un million d’exemplaires à travers le monde dont 71 000 exemplaires en France. Voici donc arrivé l’heure du restylage!

Nouveau regard pour le T-Roc

L’année 2022 est riche en nouveautés pour VW. Après Taigo, voici le T-Roc dans sa version restylée. Un modèle d’importance puisqu’il est sur la deuxième marche du podium des voitures les plus vendues par Volkswagen en France avec 17% du mix. La première reste l’indéboulonnable Polo avec 23% et vient ensuite T-Cross avec 13% du mix. On l’avait découvert lors de l’essai de la Taigo. Le T-Roc représente l’univers premium, polyvalent et spacieux. A côté du Taigo qui mise sur son design, son dynamisme et son accessibilité. Tandis que T-Cross se veut plus malin, urbain et familial.

Si la forme des optiques est conservées, on trouve désormais la technologie Matrix LED avec 24 sources lumineuses par phare et nouvelle signature lumineuse ID Light. Les phares sont reliés entre eux par un bandeau chromé lumineux via la calandre. un signe distinctif que l’on retrouve sur toutes les dernières productions de Wolfsburg. Cet agencement permet un traitement plus sportif et visuellement réussi comme sur cette finition R-Line. Cette dernière profite de nouveaux boucliers tandis que les autres finitions conservent un motif très proche de celui du T-Roc d’avant restylage.

À l’arrière, les feux adoptent eux aussi une nouvelle signature lumineuse Matrix LED, dont les clignotants à défilement (en option). Personnellement, même s’il peut paraitre léger, j’aime beaucoup ce restylage qui donne un côté plus souriant, voir réconfortant, au T-Roc.

Attention à la mousse!

À bord, le Volkswagen T-Roc a écouté la critique et ça se ressent. Il rectifie le tir à l’aide d’éléments moussés nettement plus valorisants. Les contre-portes adoptent un garnissage en similicuir ( tissu sur Life ). L’amélioration est à souligner donc, mais c’est surtout au niveau de la technologie embarquée que la VW muscle son jeu.

Le T-Roc gagne la nouvelle Climatronic bi-zone tactile vue sur Polo restylée (entre autres). Il y a aussi ce joli volant capacitif avec ses palettes pour la boite DSG et ses pavés tactiles assez pratiques. Par contre, je n’aime pas trop le laquage noir sur ce nouveau levier de vitesse, mais soit.

Le Digital Cockpit s’affiche sur une dalle de 8 pouces, tandis que le Digital Cockpit Pro profite d’une plus grande dalle de 10,25 dès la finition Style. Au milieu de la planche de bord, l’écran tactile est désormais posé et non plus intégré. Il peut atteindre 9,2 pouces dans sa version Discover Pro. Par la même occasion, les aérateurs centraux ont été élargis, tandis que la panoplie technologique s’est enrichie des services We Connect Plus, Apple CarPlay et Android Auto sans fil. 

On pourra aussi citer les aides à la conduite comme le dispositif IQ Drive Travel. Mais aussi le régulateur de vitesse prédictif ACC et les fonctions étendues du système Side Assist qui lui offrent une conduite semi-autonome de niveau 2 fonctionnelle jusqu’à 210 km/h. 

Moteurs

La palette des motorisations du Volkswagen T-Roc restylé demeure fidèle à trois blocs essence :

  • 1.0 TSI à trois cylindres de 110 ch
  • 1.5 TSI à quatre cylindres de 150 ch
  • 2.0L TSI de 300ch c’est le T-Roc R !

L’offre diesel est maintenue et fait le bonheur des flottes. Ils sont au nombre de deux:

  • 2.0 TDI de 115 ch
  • 2.0L TDI de 150 ch

Un point à souligner: le T-Roc offre la transmission intégrale 4Motion, équipement rare sur le segment. Il se trouve sur les motorisations TDI 150, TSI 190 et T-Roc R de 300 ch.

Au volant du T-Roc 1.5L 150ch

Pour ce qui est des sensations de conduite, c’est du pareil au même. Et fort heureusement, c’était déjà pas mal fait avant.

Le 150 ch essence reste l’offre moteur la plus prisée, et je me demandais comment il allait se comporter. Mon parcours à travers les Pyrénées Orientales m’ont permis d’apporter une réponse. Déjà, on peut l’emmener dans les virages de manières dynamiques sans perdre notre sérénité malgré des routes très grasses lors de l’essai. Le roulis est maintenu efficacement, tout en préservant un certain confort. En plus, on est incroyablement bien maintenu dans ces sièges siglés R.

Le comportement est à l’image de son design: c’est rassurant! Ensuite, je ne me suis jamais sous motorisé et c’est positif. La mécanique relance bien en sortie de virages, même en pente. Vous aurez remarqué le T-Roc se passe d’hybridation et de version électrique (réservée à la gamme ID). Cela n’empêche pas le 1.5L TSI d’être capable de couper deux de ses cylindres lorsqu’il est peu sollicité! Ce moteur peut également évoluer en roue libre pour une consommation maîtrisée.

En conduisant tranquillement, la consommation affichée au tableau de bord est tombée sous les 6L/100km. Pas mal! Le moteur est alors aphone, et seul les bruits de roulements parviennent à pénétrer l’habitacle. Encore une fois c’est positif. Avec un 0 à 100 km/h avalé en 8,6 secondes, ce moteur n’est pas le plus prisé pour rien: il est à l’aise partout! La DSG7 est une alliée de choix : fluidité et réactivité font toujours des merveilles.

Conclusion

Le T-Roc n’avait pas vraiment vieilli, mais le voilà encore plus réussi. L’habitacle est flatteur, le style est plus sympa et désormais il propose une bonne panoplie de technos qui lui permettent de continuer tranquillement sa carrière sur ses deux rétros.

Mon modèle d’essai était un T-Roc 1.5 TSI 150ch DSG7 R-Line disponible à partir de 38 910€ avec comme options:

  • Peinture Gris Pyrite à 700€
  • Projecteurs IQ.Light – Matrix LED à 775€

Notation

Design
8.5
Vie à bord
8.5
Performances
7.5
Plaisir de conduite
7.5
Solides prestations
Technologie
Look de la finition R-Line
Tarifs
8

Photos du Volkswagen T-Roc

Fiche technique de la VW T-Roc 2022
MOTEUR
Type : 4 cylindres turbo
Position : Avant
Cylindrée : 1498 cm3
Puissance maxi : 150 ch
Couple maxi : 250 Nm
TRANSMISSION
Traction
Boîte de vitesses (rapports) : automatique (7)
POIDS
Données constructeur à vide : – kg
PERFORMANCES
Vitesse maxi : 205 km/h
0 à 100 km/h : 8″6
CONSOMMATION
Moyenne normalisée : 6,5 L/100 Km
CO2 : 148 g/Km
Puissance fiscale : 8 CV

Essai Volkswagen T-Roc TSI 190ch

Le T-Roc est le dernier SUV de Volkswagen. Le constructeur de Wolfsbourg nous a convié au Portugal pour prendre le volant de cette nouveauté dans deux motorisations différentes: le TSI 190ch et et le TDI 150ch. Ready to roc?

SUV Story

Le T-Roc est développé sur la base d’une Golf, et vient se positionner sous le Tiguan (lui aussi développé sur la plateforme MQB de la Golf). D’ici un an, le T-Cross viendra se placer sous le T-Roc, il sera développé sur la base d’une Polo. Le plus gros restant bien entendu le Touareg.

En terme de dimensions, le T-Roc est long de 4,23m. C’est 2cm de moins qu’une Golf et 25 cm de moins qu’un Tiguan! Il affiche une hauteur de 1,57 m, soit 12 cm de plus qu’une Golf mais 10 cm de moins qu’un Tiguan.

Le T-Roc est donc plus petit, mais pas trop.

Place à la couleur

Une VW personnalisable qui mise sur la couleur? Et oui la T-Roc c’est aussi ça. Pas moins de onze teintes de carrosserie, trois teintes de toit et 24 combinaisons de couleurs possibles. La couleur s’invite aussi à l’intérieur avec 7 coloris disponibles!

Au premier regard on remarque son toit au style de coupé et la partie avant à la largeur prononcée. Si au début, je n’étais pas totalement fan de cet avant, ce n’est plus le cas aujourd’hui. Bientôt, la finition R-Line apportera encore plus de muscle! La partie arrière semble être inspirée du Tiguan, je la trouve très réussie.

A l’intérieur aussi on retrouve cette gaieté, même s’il est toujours possible d’opter pour une configuration très sobre. En tout cas, tout est bien à sa place, sans fantaisie, on reste dans une VW avec la finition qui va bien et une facilité d’usage au quotidien exemplaire. L’instrumentation digitale Active Info Display apporte une touche de modernité bienvenue. La charge à induction pour mobile ravira les technophiles et le son est fourni par Beats.

Puissance et motricité

Exclusivement disponible en transmission intégrale 4Motion lors de ces essais. Le T-Roc disposait de modes de conduite et d’une boîte de vitesses automatique DSG à sept rapports. Particulièrement bien lotie donc, avec au choix:

  • Le 2.0L TSI de 190ch
  • Le 2.0 TDI de 150ch

Si le moteur essence est assez puissant pour réaliser de rapides accélérations, il ne prend que 7,2 sec pour réaliser le 0 à 100 km/h, il ne peut pas être qualifié de sportif. Bien étouffé sous ses couches d’isolant, il ne transpire pas l’émotion. Il est par contre le parfait allié du quotidien. De série, ce moteur de 190ch est forcément livré avec le 4Motion et la DSG.

En ce qui concerne le TDI, il trouve sa place sous le capot du T-Roc en proposant un couple et une consommation qui plaira aux gros rouleurs. Il réalise le 0 à 100 km/h en 8,4 sec dans sa configuration 150ch. A noter qu’une version 190ch arrivera prochainement.

Le T-Roc sera également disponible avec un 1.0 TSI de 115 ch, avec boîte manuelle et roues avant motrices. Bien plus sage et moins cher, il sera le parfait cœur de gamme.

Comportement rassurant

Avec 4 roues motrices, absolument rien à redire sur la motricité. La garde au sol de 16,1 cm du le T-Roc n’en fait pas un SUV taillé pour l’aventure, mais il peut très bien s’aventurer sur des petits sentiers. Je ne m’en suis d’ailleurs pas gêné!

La transmission à quatre roues motrices 4Motion dispose d’un sélecteur de profil de conduite qui permet d’ajuster plusieurs paramètres selon si l’on est sur route (Street), neige (mode Snow) ou en tout-terrain (Off-Road). Par contre le Drive Select qui permet de switcher entre sport, confort, etc… est pour le coup anecdotique. Je n’ai pas senti de flagrantes différences.

La direction est légère et précise malgré la taille des jantes. Attention, ce n’est pas parce que l’on a de la puissance sous la pédale que le T-Roc ne reçoit des badges GTI ou GTD, et honnêtement ça se comprend au volant. Dynamique oui, sportif non.

Petit plus, VW agrémente le T-Roc des dernières technologies en matière de sécurité comme le Lane Assist de série.

Conclusion

Voiture conçue pour être parfaite au quotidien, moteur puissant, technologie à la page et une fois n’est pas coutume pour une vw: un réel effort pour la personnalisation! Le T-Roc étonne dans la jungle des SUV!

Attention, pour l’instant le configurateur du T-Roc ne propose pas encore toutes les finitions ni tous les moteurs.

Notation

Design
8.5
Vie à bord
8
Performances
7.5
Plaisir de conduite
7.5
7.9

Photos du Volkswagen T-Roc

Fiche technique

MOTEUR
Type : 4 cylindres en ligne
Cylindrée (cm3) : 1984
Alimentation : Turbocompresseur
Puissance maxi (ch DIN à tr/mn) : 190 ch
Couple maxi (Nm à tr/mn) : 320 Nm
TRANSMISSION
Intégrale
Boîte de vitesses (rapports) : Automatique (7)
POIDS
Données constructeur (kg) : 1420
Rapport poids/puissance (kg/ch) : 7,86
PERFORMANCES
Vitesse maxi (km/h) : 216
0 à 100 km/h : 7,2″
CONSOMMATION
Moyenne constructeur (L/100 Km) : 6,8
CO2 (g/km) : 152
Puissance fiscale : 11 CV

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