Mon avis à chaud de la nouvelle Audi Q3.
L’essai plus complet est ici.
Mon avis à chaud de la nouvelle Audi Q3.
L’essai plus complet est ici.
Attention, elle ne s’appelle plus A1 mais A1 Sportback. Pourquoi? Il est terminé le temps d’avoir le choix entre 3 et 5 portes. Désormais, c’est 5 portes ou rien! On continuera quand même à l’appeler A1 par facilité, tout comme l’A3 d’ailleurs, personne ne dit vraiment A3 Sportback…
Il n’y a pas que le nom qui change, le design aussi. Il est fini le temps des rondeurs et de la bonne bouille de la première génération. La nouvelle A1 sort de la salle de fitness. Ici les arrêtes sont vives, le style est tranchant. Encore plus avec cette finition S-Line qui lui sied à merveille. Les portes à faux sont plus courts et l’empattement plus long, les baguettes latérales, le diffuseur, tout est là pour donner un style sportif à cette A1, et ça fonctionne plutôt pas mal.
J’aime tout particulièrement les trois ouvertures sur le haut de la calandre qui sont un clin d’œil à l’illustre Audi Sport Quattro. Des ouvertures que l’on retrouve également sur le restylage de la nouvelle R8!
Pour être dans l’air du temps, elle devient très personnalisable avec un configurateur qui propose 10 couleurs de peinture mais aussi des couleurs en contraste pour le toit, les rétroviseurs ou encore le bouclier. À l’intérieur, la planche de bord peut recevoir des inserts jaune ou menthe, on peut ajuster l’ambiance lumineuse à son envie… Qui a dit que les habitacles des Allemandes étaient tristes?
Pour l’instant, le seul moteur dispo est le 30 TFSI qui correspond à un 1.0L de 116 ch et 200 Nm de couple. Rapidement trois autres moteurs essence vont venir s’ajouter au catalogue: un autre 1.0L mais en 95ch, un 1.5L de 150ch et un 2.0L de 200ch.
Le 30 TFSI est donc un trois cylindres de seulement 1.0L, très souple, il offre le minimum de dynamisme à cette A1 pour se frayer un chemin dans la jungle urbaine. Il est associé à la boite S-Tronic à 7 rapports, ce couple moteur/boite est parfait et fait preuve d’une belle souplesse. Le Drive Select permet d’agir sur la cartographie, que ce soit en mode Auto ou Dynamic elle reste agréable à l’utilisation que ce soit en ville ou dans l’arrière pays Marseillais.
A noter que le mode Dynamic permet de remplir l’habitacle d’un son moteur (artificiel), en mode Auto, le petit 1.0L est quasiment imperceptible. Il ne faudra pas non plus hésiter à grimper dans les tours pour se faire plaisir au volant.
Niveau conso, il est facile de rester sous la barre des 7L/100 km.
L’A1 se distingue par un contenu technologique haut de gamme et par une ergonomie sans faille. Le virtual cockpit est de série sur toutes les finitions Le grand écran haute définition est ultra réactif. J’ai remarqué que les cadrans numériques adoptent le flat design. C’est encore plus sympa et colle à l’image jeune et dynamique que cette Audi A1 Sportback inspire.
En option, l’Audi virtual cockpit s’accompagne d’un écran tactile de 10,25’’. Tourné vers le conducteur, il est ergonomique et très réactif. Il permet de rester connecté via l’Audi Smartphone Interface. Cette application affiche les contenus de votre smartphone directement sur l’écran du MMI via AppleCar Play ou Android Auto. Pour un son de qualité, le Bang & Olufsen Premium Sound System ajoute 11 haut-parleurs pour une puissance de 560 watts.
On retrouve aussi les technologies vues sur les grandes sœurs de la marque. De série, elle embarque des aides à la conduite comme l’Audi pre-sense front qui détecte un éventuel danger à l’avant et freine le véhicule si besoin. A partir de 65 km/h, l’Audi Lane Assist détecte le marquage au sol et avertit le conducteur en cas d’écart de trajectoire. Le système d’aide au stationnement automatique permet quant à lui de se réaliser des créneaux presque sans les mains.
Pas de surprise au volant. La direction est précise, et le nouveau châssis, plus large, permet un comportement bien plus stable. Évidemment, avec une finition S-Line qui abaisse la caisse (ressorts 10% plus durs) et les jantes de 18 pouces, l’amortissement est des plus fermes. Les plus sensibles se réconforteront avec le moelleux des sièges.
Effet positif de ce châssis rigide: il y a très peu de roulis et dès que ça tourne, on prends du plaisir à l’emmener, même avec une puissance aussi modeste. Le toucher de route au volant est surprenant.
Légère, les 116 ch suffisent à réaliser le 0 à 100 km/h en moins de 10 sec. Il va être intéressant de voir comment elle se comporte avec plus de puissance.
Look sportif et personnalisable, intérieur high-tech: La nouvelle A1 Sportback maîtrise son sujet et offre un haut niveau de standing dans l’univers des citadines.
Pour ma configuration idéale, j’ai choisi un Blanc Glacier qui rappelle l’Audi Sport Quattro à droite ainsi qu’un toit contrasté Noir Mythe pour un style plus sympa sans oublié le pack esthétique noir. Pour les jantes, mon choix s’est porté sur les jantes 18″ Audi Sport en style rotor à 7 branches. Tant pis pour le confort.
Il s’agit bien entendu d’une finition S Line accompagnée du plus gros moteur bientôt disponible: le 40 TFSI S Tronic de 200ch qui permet le 0 à 100 km/h en 6.5 sec!
MOTEUR
Type : 3 cylindres
Position : Avant
Alimentation : Turbo
Cylindrée (cm3) : 999
Puissance maxi (ch à tr/mn) : 116 à 5000
Couple maxi (Nm à tr/mn) : 200 à 2000
TRANSMISSION
Avant
Boîte de vitesses (rapports) : auto (7)
POIDS
Données constructeur DIN à vide (kg) : 1125
Rapport poids/puissance (kg/ch) : 9,69
PERFORMANCES
Vitesse maxi (km/h) : 203
0 à 100 km/h : 9″4
CONSOMMATION
Moyenne normalisée (L/100 Km) : 4,8
CO2 (g/Km) : 110
Pour cette seconde génération du SQ5, Audi change de cap et propose un V6 essence en lieu et place du diesel! Heureux? Oh que oui! Si la première génération du SQ5 était le premier modèle S de chez Audi à se voir affubler d’un diesel, la marque aux anneaux semble avoir voulu changer la donne.
Du S tyle
Le SQ5 se distingue du classique Q5 avec des coques de rétroviseurs en aluminium, un diffuseur arrière, des bas de porte peints, une garde au sol rabaissée de 30 mm et des jantes de 20 pouces ou 21 pouces en option. Autant vous dire que le Q5, déjà charismatique, en impose encore plus lorsqu’il passe au S.
Par contre, il est toujours dommage de retrouver des sorties d’échappement factice. Toutes les marques s’y sont mis aujourd’hui et je me suis posé la question du pourquoi? La seule réponse valable que j’ai trouvé: Avoir toujours le bouclier propre. Soit…
Place à bord
Quelques inserts façon fibre de carbone rappellent que nous sommes dans un modèle sportif, comme les sigles S. La finition est superbe. Impossible de critiquer l’ajustement des cuirs et du carbone au millimètre près.
On a bien sur le droit aux dernières avancées en matière de confort et de sécurité pour une conduite plus sûre.
Le virtual cockpit et l’affichage tête haute sont toujours aussi intuitifs. La position de conduite idéale est rapidement trouvé. Rien à redire donc.
La nouveauté est sous le capot!
Le SQ5 reçoit donc le V6 3.0 bi-turbo de 354 ch et 500 Nm, associé à la boîte automatique Tiptronic 8, un bloc que l’on retrouve sur la berline S4. Fini donc le Bi-TDI de 340 ch et place au carburant noble comme certains aiment le dire (Attention une version TDI arrivera tout de même plus tard). La puissance maxi est développée de 5400 à 6400 tr/min et le couple de 1370 à 4500 tr/min. Des chiffres impensables dans un moteur essence il y a encore quelques années.
La boite se passe de double embrayage, cela ne l’empêche pas d’être souple et rapide.
En ce qui concerne la consommation, elle s’est maintenue entre 10 et 12L de moyenne sur plus de 700 km d’essais.
Grosse poussée
Linéaire et soyeux, le V6 sait propulser l’engin comme il se doit. Pied au plancher, le SQ5 se cabre et le 0 à 100 km/h se fait en 5,4 secondes. La vitesse maxi est bloquée électroniquement à 250 km/h.
Grâce au Drive Select, il est possible d’amplifier le son du moteur. Le bruit devient plus rauque. En tout cas, il est toujours amusant de voir la tête des passants étonné par la sonorité du SQ5!
Surprenante à plus d’un titre
La transmission intégrale est bien entendu de série. Elle est typée propulsion et reçoit en plus un différentiel sport (en option ) sur le train arrière. Mon modèle d’essai était également équipé de la suspension pneumatique adaptative. Il est ainsi possible de changer la hauteur de caisse via le Drive Select.
Le résultat est surprenant. Il offre un dynamisme bienvenue à ce mastodonte de la route au centre de gravité haut perché. Finalement, le SQ5 se révèle facile à vivre avec sa direction légère et capable d’hausser le rythme tout en faisant chanter le V6!
Le comportement est comme une évidence. Il inspire confiance et sait se montrer efficace comme toute Audi qui se respecte.
Conclusion
Toujours plus performant et efficace, le SQ5 s’impose tout simplement comme la référence de la catégorie.
Il faudra attendre encore un moment avant de voir arriver le SQ5 TDI, qui n’aura pas une mécanique aussi lyrique mais une consommation plus contenue. Sans confirmation d’un RSQ5, c’est lui le plus rapide des SQ5.
Fiche Technique
MOTEUR
Type : V6
Position : Avant
Alimentation : Turbo
Cylindrée (cm3) : 2995
Puissance maxi (ch à tr/mn) : 354 à 5400
Couple maxi (Nm à tr/mn) : 500 à 1370
TRANSMISSION
Intégrale
Boîte de vitesses (rapports) : Automatique (8)
POIDS
Poids à vide en Ordre de Marche (kg) : 1945
Rapport poids/puissance (kg/ch) : 5,49
PERFORMANCES
Vitesse maxi (km/h) : 250
0 à 100 km/h : 5″4
CONSOMMATION
Moyenne normalisée (L/100 Km) : 8,3
CO2 (g/Km) : 189
Puissance fiscale : 24 CV
Finalement, après des années de tests, des mois de teasers, la nouvelle Audi A8 a été officiellement dévoilée lors de l’Audi Summit à Barcelone la semaine dernière.
Hyper techno, autonome à un niveau encore jamais atteinte, le tout dans une enveloppe sexy et moderne. L’Audi A8 se pose en futur de la berline de luxe. On trouvera donc des fonctions telles que le parking pilot (stationnement automatique), garage pilot (retour au garage) and traffic jam pilot (assistant de conduite dans les embouteillages).
Si vous suivez l’actualité de la marque aux anneaux, vous remarquerez que cette A8 s’inspire du concept Prologue de 2014. Créée par Marc Lichte, la nouvelle A8 est encore plus élégante que le modèle qu’elle remplace. Ce nouveau design se caractérise par une calandre singleframe plus large et des phares horizontaux plus minces qui intègrent les feux diurnes à LED.
A l’arrière, les feux se rejoignent. Ce n’est pas aussi spectaculaire que sur le concept Prologue, mais cela offre toute la modernité nécessaire au nouveau vaisseau amiral d’Audi.
Le système de suspension fonctionne grâce à un moteur électrique sur chaque roue. Ce système innovant fonctionne de paire avec la caméra avant qui détecte les bosses et permet à la suspension de s’adapter automatiquement pour offrir le meilleur confort possible. Audi assure que ce système pourra éliminer presque toutes les vibrations.
Jusqu’à 60 km / h sur autoroute, le système autonome peut prendre le contrôle total du véhicule et permet au conducteur de retirer complètement ses mains du volant. Pratique pour se reposer dans les bouchons.
Comme ses rivaux, la nouvelle A8 comprend un stationnement à distance qui peut être utilisé par une télécommande, même si aucun occupant n’est assis à l’intérieur.
En Allemagne, la nouvelle A8 sera initialement proposée en deux motorisations V6: un 3.0L TDI et un 3.0L TFSI. Le diesel développera 286ch tandis que l’essence sera capable de 340ch. Plus tard, un 4.0L V8 TDI de 435ch aux côtés d’un autre de 460ch. La gamme sera complétée par un 6.0L W12 dont la puissance est encore inconnue.
Ces cinq motorisations sont toutes assistées par un alternateur à courroie (BAS), qui est le centre nerveux du système électrique de 48 volts. Cette technologie hybride légère (VEHL, véhicule électrique à hybridation légère) permet à la voiture de rouler en roue libre et moteur éteint avant de redémarrer en douceur. Elle dispose également d’une fonction avancée de Start & Stop et d’un système de récupération d’énergie jusqu’à 12 kW. L’effet combiné de ces technologies permet de réduire encore plus la consommation de carburant de moteurs qui sont déjà performants : jusqu’à 0,7 litre aux 100 kilomètres dans des conditions de conduite réelles.
L’A8 L e-tron quattro utilisera un moteur plug-in hybride. Sa date de commercialisation n’est pas encore connue. Son 3.0L TFSI et le moteur électrique délivrent une puissance combinée de 449 ch et 700 Nm de couple. La batterie lithium-ion disposera d’une autonomie de 50 kilomètres de conduite 100% électrique. Elle peut être rechargée sans fil par le biais de la station optionnelle Audi Wireless Charging. Un bloc installé sur le sol du garage transfère l’électricité par induction à une bobine intégrée dans la voiture avec une puissance de 3,6 kW.
La nouvelle A8 présentée, on pense déjà à la déclinaison sportive S8.
Cette version S8 recevrait le V8 4.0 biturbo de la Porsche Panamera Turbo quand la S8 Plus, qui devrait voir le jour un peu plus tard, aurait droit à un moteur hybride inédit de 680ch, qui n’est autre que celui de la Panamera Turbo S-E Hybrid.
Affaire à suivre!
Ce ne fut pas tellement une surprise lorsqu’Audi a révélé sa nouvelle A5 Sportback au mondial de Paris. Tout d’abord parce qu’elle ressemble à la nouvelle A5 Coupé avec une paire de portes en plus, mais aussi un peu à l’ancienne. Et oui, évoluer dans la douceur reste le crédo des constructeurs Allemands. Et franchement, je n’ai aucun problème avec ça… En vérité, lorsque l’on met cette nouvelle A5 à côté de l’ancienne, l’évolution est beaucoup plus prononcée qu’il n’y parait, de quoi faire taire les « C’est les mêmes »…
Donc, voici la version 4 portes de l’Audi A5 Coupé 2 portes, elle même la version deux portes de l’A4, une 4 portes. Vous suivez? On se retrouve donc dans un environnement très familier puisqu’elle partage les intérieurs, les moteurs et toute la technologie des véhicules basés sur la plateforme MLB Evo.
Critique purement personnelle, sa ligne est à tomber. Réussir à reprendre, moderniser, et sublimer les traits de la première génération qui date de 2007, ce ne tient pas du miracle mais presque! Les lignes sont plus aiguisées, plus fines, plus latines et surtout les têtes se dévissent à son passage, preuve de sa prestance sur la route.
Au volant
J’avais eu l’occasion d’essayer ce moteur dans la dernière A4. Et bien en descendant de la « petite » TDI essayée la veille, les 62ch supplémentaires (et essence) apportent une sportivité bienvenue! Le 0 à 100 est ici atteint en 6 secondes.
Drive Select en mode Dynamic et boite S Tronic en mode Sport (En plus, on a même le droit à un échappement plus expressif!), c’est parti pour enrouler sur les petites route de Cévennes. La transmission est réactive et sait accompagner une conduite plus sportive sans soucis. La direction est précise et il n’y a bien que les petites épingles qui nous rappellent l’encombrement de l’auto tellement elle est agile.
Au final, cette A5 Sportback se révèle plus dynamique que l’A4 berline grâce à son châssis sport et ses suspensions plus fermes. Le confort n’est pas négligé pour autant, le compromis proposé est excellent.
A l’intérieur
Rendez vous en terrain connu. L’A5 récupère le mobilier de l’A4. Matériaux, finition, ergonomie, tout y est et fonctionne à merveille.
L’A5 Sportback est 10 cm plus longue et 15mm plus haute que le Coupé. Ce qui permet de dégager pas mal de place pour les passagers. Même si la nouvelle est plus longue, elle est aussi plus étroite et plus basse que la voiture qu’elle remplace, mais Audi a creusé dans les portes pour gagner 17mm de plus en longueur et 11mm supplémentaire aux épaules pour votre plus grand confort.
L’excellent système de navigation par satellite d’Audi est fourni en série, le Virtual Cockpit en option (de série sur S Line) semble indispensable pour profiter au maximum du MMI. De tous les tableaux de bord numériques qui existent sur le marché, Audi reste le meilleur. Sans conteste.
Des options, encore des options
La gamme de l’A5 Sportback se décompose en 5 finitions. Comme annoncé plus haut, la S Line représente la majorité des ventes. Elle reprend la dotation de l’entrée de gamme (le Drive Select, le radar de recul arrière, le système de précollision actif, le hayon électrique, la détection de pluie et de luminosité, le démarrage sans clé, le système multimédia MMI, les phares de jour LED, le régulateur-limiteur de vitesse) en y ajoutant une présentation intérieure et extérieure particulière, l’aide au parking avant et arrière, la climatisation automatique tri-zone, les suspensions sport, le Virtual Cockpit, les jantes 18 pouces spécifiques, l’écran multimédia 8,3 pouces avec services connectés, les sièges sport, la sellerie cuir/tissu ainsi que les volant et levier de vitesses sport.
Conclusion
L’A5 Sportback, en plus d’être belle, sait se faire sportive lorsqu’on lui colle un 2.0L TFSI de 252ch sous le capot. Avec l’essence qui revient en force, voilà une routière très intéressante!
Prix maximum TTC du modèle de base : 40 370,00€ et 57 050,00€ pour la 2.0 TFSI 252ch quattro S Tronic 7 S Line
Mon modèle d’essai ( Bleu Scuba ) était équipé de série:
Et comme options:
Elle s’affichait donc à 75 385,00€
Fiche Technique
MOTEUR
Type : 4 cylindres en ligne, 16 soupapes
Position : transversale AV
Alimentation : turbocompresseur
Cylindrée (cm3) : 1984
Puissance maxi (ch à tr/mn) : 252 de 5000 à 6000
Couple maxi (Nm à tr/mn) : 370 de 1600 à 4500
TRANSMISSION
Intégrale
Boîte de vitesses (rapports) : automatique (7)
POIDS
Données constructeur DIN à vide (kg) : 1610
Rapport poids/puissance (kg/ch) : 6,3
PERFORMANCES
Vitesse maxi (km/h) : 250
0 à 100 km/h : 6″0
CONSOMMATION
Moyenne normalisée (L/100 Km) : 5,2
CO2 (g/Km) : 141
Puissance fiscale : 15 CV
Audi met sur le marché son nouveau SUV de petite taille : le Q2. Il devient le plus petit et le dernier de la famille Q après les Q3, Q5 et Q7. Ce tout nouveau véhicule, plutôt rare par les temps qui courent, est disponible dès ce mois de novembre 2016. L’occasion pour allez l’essayer au Portugal dans sa version 1.4L TFSI de 150ch, la plus puissante au catalogue pour le moment.
Extérieur
Avec sa taille de 4,19 m, il se situe juste en dessous du gabarit d’une Audi A3 3 portes (4,24 m) et juste au dessus de la petite A1. Le style se différencie des autres productions Audi avec beaucoup plus d’angles et un aspect massif (pas autant que le Q7 quand même). Il en ressort une sensation de sécurité et d’un véhicule solide.
Mon Q2 d’essai était blanc en finition Design, il se reconnaît à ses arches de roues noires et son Blade (référence à la R8?) gris foncé dans le prolongement du vitrage latéral.
Intérieur
Un des intérêts des SUV c’est leur accès à bord, c’est donc le cas ici avec sa hauteur de 1,51 m. A l’intérieur, pas de surprise, je suis bien dans une Audi puisque la planche de bord est identique à celle de l’Audi A3, mais cette fois l’écran central est fixe. les inserts s’éclairent la nuit grâce à des LEDs de la couleur que l’on souhaite: L’effet est superbe.
On retrouve une qualité de finition exemplaire. Le (génial) virtual cockpit est là mais en option à 520 €, tout comme le système de navigation GPS et son Google view qui réclame 1 115 € supplémentaire.
En finition Design, l’équipement de série comprend le régulateur de vitesse, le volant cuir multifonctions, les radars de stationnement et les jantes de 17 pouces. Pour le reste, il faudra se tourner vers le catalogue des options: navigation GPS, caméra de recul, phares à LED, pack éclairage intérieur et Apple CarPlay.
Moteur
Le bloc 1.4L TFSI dispose de 150 ch et 250 Nm de couple dès 1 500 tr/min. Il permet de réaliser le 0 à 100 km/h en 8,5 secondes. Grâce à un couple disponible bas dans les tours, les relances sont dynamiques sans parler de véritable sportivité.
Il se fait remarquer par son silence, d’ailleurs l’acoustique générale de l’auto est particulièrement bien faite même à haute vitesse. La boite S-tronic à 7 rapports fait parfaitement le job. Elle est douce et gère les situations avec brio. Combo gagnant.
Pour finir, la consommation est contenue, en restant sous les 8L/100km.
Châssis
Le Q2 est basé sur la plateforme de l’A3. Rien de surprenant là encore si je vous dis que les qualités du chassis sont nombreuses. Prècis, rigide tout en restant confortable: Il sait se montrer agile dans les petits enchainements et parfaitement stable.
A noter que le 1.4L TFSI ne dispose pas de la transmission quattro.
Conclusion
Petit mais costaud! Ce n’est pas parce que c’est le plus petit Q qu’Audi a bâclé le travail, bien au contraire. La proposition est parfaite, son look, sa finition et son côté très techno devrait plaire à plus d’un. J’ai tout particulièrement apprécié son agilité et la polyvalence de se 1.4L TFSI. De mon côté, j’attends avec impatience le SQ2 qui devrait ajouter un véritable côté sportif à l’ensemble.
Notre version d’essai avec le moteur 1.4 TFSI de 150 ch et boite S Tronic en finition Design pointe à 31 850 €.
Fiche technique
MOTEUR
Type : 4 cylindres en ligne
Cylindrée (cm3) : 1395
Alimentation : Turbocompresseur
Puissance maxi (ch DIN à tr/mn) : 150 ch
Couple maxi (Nm à tr/mn) : 250 Nm
TRANSMISSION
Traction
Boîte de vitesses (rapports) : Automatique (7)
POIDS
Données constructeur (kg) : 1265
Rapport poids/puissance (kg/ch) : 8,43
PERFORMANCES
Vitesse maxi (km/h) : 212
0 à 100 km/h : 8,5″
CONSOMMATION
Moyenne constructeur (L/100 Km) : 5,4
CO2 (g/km) : 124
Puissance fiscale : 8 CV
L’A4 est le modèle phare d’Audi car tout simplement le plus vendu avec plus de 6 millions d’exemplaires depuis 20 ans! Le best seller d’Ingolstadt fait sa révolution technologique dans une enveloppe qui semble familière mais pourtant bien différente. Voici la dernière mouture à l’essai dans l’essence le plus puissant du catalogue au jour d’aujourd’hui…
Alleluia
L’essence justement, seulement 5 % des ventes sur A4 en 2014. Mais la tendance n’est plus vraiment la même en France en 2015 pour cette génération B9, encore des chiffres: 76 % des clients sont des entreprises qui n’achètent que du TDI donc 24% sont des particuliers, la part de diesel n’est plus que de 84%, ce qui signifie que 66% ( 2/3 ) des particuliers achètent une essence! Le TDI toujours à la mode? Pas sur…
Sous le capot de cette A4 on trouve donc le 2.0 TFSI dans une déclinaison 252 ch de 5000 à 6000 tr/min et 370 Nm de 1600 à 4500 tr/min. Autant vous dire qu’on en a sous la pédale. Il est ici associé à une boîte S-Tronic (double embrayage) qui lui permet de réaliser le 0 à 100 km/h en 5,8 sec. Rapide pour cette discrète berline…
Il est donné pour une conso très raisonnable de 6,2L/100 km notamment grâce à un gros travail sur l’aérodynamique, quasiment tout le dessous est caréné (meilleur Cx de la catégorie).
A l’extérieur
Le style s’est aiguisé pour proposer encore plus de dynamisme. Les proportions ont évolué mais pas le poids, c’est jusqu’à 120 kg de gagné par rapport à l’ancienne génération. Notre modèle d’essai disposait de la finition S line et d’un pack extérieur S line. On notera qu’il tranche moins avec les autres finitions qu’auparavant en gardant une sobriété à toute épreuve. La couleur est bien sur le Rouge Tango (1100€) et les jantes (1570€) sont en 19″ finition titane mat et polies brillant, avec inscription RS, 8,5 J x 19 » et pneus Hankook Ventus S1 Evo² en 255/35 R 19 .
Les phares Matrix Led ( 2300€) remplacent les Xenon de série. Ils sont d’une efficacité extraordinaire, gage de sécurité et de visibilité sur la route. En campagne, ils permettent de rester en plein phare sans éblouir les autres usagers grâce à un système d’occultation du faisceau.
La double sortie d’échappement à l’arrière laisse entrevoir les capacités du moteur…
A l’intérieur
On ne s’y trompe pas, la qualité de fabrication est toujours soignée. La nouvelle A4 hérite du virtual cockpit introduit par la TT mais gagne un second écran central. Même les passagers arrière ont désormais le droit à leur écran dédié relié au système MMI (2580€ les deux tablettes, mesurant 10,1 pouces et amovibles pour être utilisées tant à l’intérieur qu’en dehors du véhicule)
Les nouveaux équipements disponibles sont nombreux: affichage tête-haute (1190€), chargeur de téléphone par induction (410€), régulateur de vitesse actif s’adaptant aux limitations de vitesse et autres systèmes d’assistance rendant le véhicule semi autonome (plusieurs packs sont proposés). Le sound system Bang & Olufsen avec son 3D (1030€) est quasiment ce qui se fait de mieux en la matière. La multitude de fonctions rend l’auto moins intuitive à l’utilisation.
Notre S line disposait également d’une sellerie cuir / Alcantara avec logo S line (610€), le maintien est parfait, les réglages presque infinis, le confort préservé. Le toit ouvrant permet de profiter du soleil contre 1330 €. Petit plus toujours sympathique, l’éclairage d’ambiance (430€) est désormais entièrement personnalisable parmi une palette de couleurs et chaque spot individuellement.
A l’usage
Dès les premiers tours de roue, on se rend compte du travail aéro acoustique. En plus, avec les vitres latérales feuilletées (185 €), le volume descend encore dans l’habitacle. Si on ne pousse pas les rapports, on se croirait dans une A6 voir une A8 tellement le calme règne à bord!
Mais si l’envie vous prend, il sera toujours possible de quitter l’autoroute pour emprunter les petites routes de campagne, ou comme nous, l’arrière pays niçois. Et là, l’A4 cache bien son jeu: Le 2.0L turbo prend ses tours et affole les compteurs!
Équipée de l’amortissement piloté (option à 1190 €), du châssis sport et de la direction dynamique (1210€), le roulis est très bien contenu, sans pour autant procurer de l’inconfort. Les qualités dynamiques de l’auto sont bien présentes: la direction est précise, le freinage puissant et la transmission Quattro motrice parfaitement adaptée pour suivre n’importe quelle trajectoire. La douceur et l’agrément de conduite n’entravent en rien ses capacités à aller vite!
Conclusion
Un équipement riche, une auto qui sait se faire sportive tout en disposant d’un confort de haut vol. Voilà une bien belle proposition en attendant la future S4.
Fiche Technique
MOTEUR
Type : 4 cylindres en ligne, 16 soupapes
Position : transversale AV
Alimentation : turbocompresseur
Cylindrée (cm3) : 1984
Puissance maxi (ch à tr/mn) : 252 de 5000 à 6000
Couple maxi (Nm à tr/mn) : 370 de 1600 à 4500
TRANSMISSION
Intégrale
Boîte de vitesses (rapports) : automatique (7)
POIDS
Données constructeur DIN à vide (kg) : 1585
Rapport poids/puissance (kg/ch) : 6,3
PERFORMANCES
Vitesse maxi (km/h) : 250
0 à 100 km/h : 5″8
CONSOMMATION
Moyenne normalisée (L/100 Km) : 6,2
CO2 (g/Km) : 144
Puissance fiscale : 14 CV
Après avoir essayé la TT TDI, la TTS, voici encore une TT offrant des plaisirs différents puisqu’elle tombe le haut!
Fidèle à la capote en toile depuis la première génération, elle ne prendra que 10 secondes pour la ranger et ce jusqu’à 50 km/h. Cette dernière s’intègre parfaitement dans la ligne de l’auto sans la défigurer. Je l’ai essayé avec la motorisation 2.0L TFSI de 230 ch.
INTERIEUR
L’intérieur ne change pas et garde sa finition exemplaire. C’est le même que sur le coupé. La seule et unique différence, elle est de taille: c’est la capote!
La manœuvre est entièrement automatisée, verrouillage compris, et se commande depuis une touche située entre les sièges. Sa présence supprime les places arrières qui ne servaient finalement pas à grand chose, mais ne touche pas au volume du coffre qui dispose de 280L peu importe la position.
Il a fallu rigidifier la caisse avec l’absence de toit, l’embonpoint n’est que de 90 kg par rapport au coupé. Merci la toile qui ne pèse pas grand chose (39kg), celle ci intègre en plus l’antenne radio et est disponible en 3 couleurs pour plus de personnalisation (noir, gris, beige).
Décapoté, les remous d’air se font sentir, même avec le filet relevé. Heureusement, pour réchauffer l’ambiance, les sièges sont chauffants et un chauffe-nuque intégré à l’appui-tête souffle un courant d’air chaud à la manière d’un sèche-cheveux. Dernière subtilité: le micro du système Bluetooth est directement intégré à la ceinture de sécurité pour être plus près du visage.
MOTEUR
Le 2.0L TFSI développe ici 230 ch et 370 Nm, il permet de réaliser le 0 à 100 km/h en 5,3 sec. Le couple est seulement 10 Nm inférieur à celui de la TTS, ce qui lui permet de cruiser cheveux aux vents et d’offrir tout de même d’excellentes performances.
Décapoté on entend forcément moins la mécanique, l’échappement fournit la bande son, et la boite S Tronic agrémente les vocalises d’un coup d’accel qui va bien lors des phases de changement de rapport!
CHASSIS
Dotée de la transmission Quattro et de la boite à double embrayage S tronic, elles se contentent de 1425 kg sur la balance. Le résultat est un comportement dynamique, précis, efficace et surtout sûr! Les qualités dynamiques sont préservées grâce à une rigidité optimale.
Malgré le surpoids, la TT roadster conserve l’agilité du coupé. Avec la boite manuelle et la version diesel, elle est uniquement disponible en traction (non essayée).
CONCLUSION
Toujours aussi jolie, la TT roadster permettra de rouler cheveux aux vents. Décapoter, on évitera les vitesses folles pour adopter une conduite coulée.
Prix maximum TTC du modèle de base : 48 200 € ( 43 300 € en boite meca)
Mon modèle d’essai (Blanc) était équipé de série:
Et comme options:
Fiche Technique
MOTEUR
Type : 4 cylindres en ligne, 16 soupapes
Position : transversal AV
Alimentation : turbocompresseur
Cylindrée (cm3) : 1984
Puissance maxi (ch à tr/mn) : 230 de 4500 à 6200
Couple maxi (Nm à tr/mn) : 370 de 1600 à 4300
TRANSMISSION
Intégrale
Boîte de vitesses (rapports) : auto (6)
POIDS
Données constructeur DIN à vide (kg) : 1425
Rapport poids/puissance (kg/ch) : 4,4
PERFORMANCES
Vitesse maxi (km/h) : 250
0 à 100 km/h : 5″3
CONSOMMATION
Moyenne normalisée (L/100 Km) : 6,7
CO2 (g/Km) : 154
Puissance fiscale : 13 CV