Maintenant que la 911 de base a adopté le turbo sur sa motorisation, on était en droit de se demander de ce que deviendrait la 911 Turbo et ce qu’il lui resterait de spécifique.
Et bien la Turbo reste la Turbo et conserve une puissance plus importante, elle sera disponible en version coupé et cabriolet dès sa sortie. Son flat-six 3.8L bi-turbo produit désormais 540 ch et 580 ch pour la S et un couple de 749 Nm. Cette puissance accrue est possible grâce à de nouvelles têtes de cylindre et buses d’injection, avec une pression d’injection plus élevée et des compresseurs agrandis.
Elles disposent d’une nouvelle fonction Dynamic Boost qui optimise la réponse moteur sans avoir à presser de bouton, juste à la façon d’appuyer sur la pédale d’accélérateur. Et la fonction Sport Response où là il faut bien presser un bouton et qui offre le meilleur répondant du moteur et de la boîte de vitesses pendant 20 secondes, avec compte à rebours sur l’écran. La gestion PSM est entièrement nouvelle.
Les performances sont en conséquences: 3 secondes pour le 0 à 100 km/h et 320 km/h en pointe pour la 911 Turbo et 2,9 secondes pour le 0 à 100 km/h et 330 km/h pour la 911 Turbo S.
Pour un restylage, les différences sont minimes. Les boucliers, les poignées de porte et le capot moteur sont redessinés, les jantes sont nouvelles. A l’intérieur, le volant s’inspire de celui de la 918 Spyder.
En Allemagne, les tarifs vont de 174,669 euros pour la Turbo à 215,962 euros pour la Turbo S avec une commercialisation pour janvier 2016.
Via Porsche.
elle est réussie ,mais pourquoi Porsche n’exploite pas sa nouvelle Targa qui est très réussie ,par rapport a l’ancienne plutôt pataude ,arceau mal intégré , alors que la nouvelle est une pure merveille qui ne demande qu’a être au devant de la scène !