Après un shakedown plutôt mouvementé, les équipages se sont lancés vendredi matin dans la première ES, celle de Camiers, parsemée de pièges en tout genre et de routes dégradées.
Dés celle ci, c’est Eric Brunson qui s’impose et lance le rythme bien qu’il ai commis une petite erreur et roulé quelques mètres dans le bas côté.
Julien Maurin à l’attaque perd du temps en calant dans une épingle. Snobeck, lui a fait un tête à queue dés le premier virage. Beaubelique lui est déjà ralenti par un problème mécanique.
D’après Alain Lefrançois, des spectateurs jettent de la neige sur la route.
Lors de la seconde spéciale, Brunson accroît son avantage, il déclare être fier de son choix de pneus. Anthony Cosson et Alain Foulon perdent du temps suite à une crevaison dans cette ES.
L’épreuve suivante déroulée sous une météo plus clémente est toujours dominée par Eric Brunson qui s’est fait une frayeur en arrivant en fond de 6 sur une chicane placée différemment du roadbook, ceci lui coûte un passage dans un champ.
Cuoq cale et perd quelques secondes, cependant il est content de l’apprentissage de la voiture. Snobeck commet une petite erreur, cale et se retrouve face à un ballot de paille.
Le local Bayard est satisfait de partir dans l’ordre du classement, ce qui lui permet de bénéficier de conditions de route meilleures.
Beaubelique toujours victime de ses problèmes mécanique roule tranquillement et dit même conduire avec le coude sur la portière, son seul soucis est de ne pas gêner les autres en attendant de tenter une amélioration à l’assistance. Lefebvre envoi très fort et signe un meilleur temps que Cédric Robert.
Dans l’ES 4 déroulée sur le front de mer, Brunson signe encore un temps scratch devant Cuoq. Snobeck pointe en retard et écope d’une pénalité. Beaubelique n’a toujours pas résolu ses problèmes, il songe à abandonner.
Le leader Brunson se fait devancer par Cuoq dans la 5ème ES qui revient à moins de 10 secondes. Snobeck accumule les pénalités. Du côté de R2, Stéphane Lefevbre signe un bon temps, déçu de ne plus être en bagarre avec Robert contraint à l’abandon. Mordacq, ex vainqueur, se fait piéger dans cette spéciale et voit s’envoler quelques secondes.
L’épreuve suivante est marquée par un nouveau scratch de Brunson, Lefebvre se plaint d’une sensation bizarre au niveau du freinage.
Lors de cette dernière spéciale de l’étape du vendredi, Brunson signe le meilleur temps, il a maintenant 20 secondes d’avance sur Cuoq qui ne s’avoue pas vaincu pour autant. Maurin est victime d’une crevaison, il change sa roue pendant la spéciale.
Snobeck sort beaucoup, rate énormément de freinages. Lionel Baud casse le turbo de sa 307. Mauffrey se fait une frayeur, il part en tête à queue à 150km/h. Nantet a fait une erreur qui a failli le faire renoncer.
Du côté des R1, c’est Defert qui méne avec 30 secondes d’avance sur son poursuivant Garcia. En twingo r2, Audet est en tête devant Clairay.
La deuxième étape débute dans l’épreuve de Bourthes, remportée par Maurin suivi de Brunson. Cuoq fait un petit tout droit, Snobeck fait une erreur de parcours et doit revenir sur ses pas avant le départ. Lefevbre pense avoir un problème mécanique, il pense à un joint de culasse. Audet part à la faute, et se fait double par Clairay qui à la vue de son concurrent calme le jeu. Mauffrey subit un problème méca du au passage dans le gué.
Dans l’ES d’Hucqueliers, c’est Brunson qui signe le scratch, Snobeck a encore fait une erreur, il dit que le roadbook est incompréhensible. Maurin attaque, cependant son mauvais choix de pneus l’handicape légèrement. Lemonnier se sort dans cette spéciale. Lefebvre abandonne, suite à une sortie où il a tapé dans une charrue. Serieys sort et se pose quelques secondes dans un champ.
Lors du second passage dans l’ES de Bourthes, Maurin signe un scratch devant Cuoq qui revient peu à peu sur Brunson, celui ci ne compte alors plus que 16 secondes d’avance. Pierre Roché est victime d’une crevaison, mais décide de rallier l’arrivée avant de changer de roue, tout comme Lefrançois. Martin continue sa course tout en gérant son avance en r2.
Le départ de l’avant dernière ES est lancé, Cuoq signe le scratch. Snobeck tape un poteau de bois dans l’épingle de Remortier. Maurin a frôlé la sortie en doublant Snobeck, qui ne s’est pas dérangé. Lefrançois casse le levier de vitesse, est reste bloqué en deuxième.