Joyeux anniversaire Audi Sport!

Au début d’Audi Sport, il y a la technologie quattro. Si elle est désormais présente sur tous les véhicules électriques Audi, qu’ils soient faits pour la route ou pour la compétition, elle a d’abord été mise au point pour des voitures de rallye!

Et oui , le système de traction intégrale a révolutionné la conduite sportive en apportant à la fois sportivité et sécurité. Cette innovation lance définitivement Audi dans le monde des rallyes. L’écurie participera pour la première fois aux championnats du monde en 1980 et ses voitures deviendront légendaires, non seulement grâce à leurs victoires (23 titres mondiaux) mais surtout par leur maniabilité, leur traction et leur tenue de route exceptionnelle, peu importe les conditions.

Pour fêter 40 ans de quattro et 25 ans de modèles RS, Audi m’a convié sur le circuit de La Ferté Gaucher.

Audi RS Q3 Sportback

@louisleducphoto

Réveil matinal sur Paris, mais tonique puisque la couleur du RS Q3 ne laisse pas indifférent! Direction le circuit de La Ferté Gaucher ( LFG ) où m’attende quelques belles surprises!

Le RS Q3 récupère le fameux 5 cylindres de la RS3 et du coup elle a le droit à 400ch et 480Nm de couple. L’accélération est détonante avec un 0 à 100 km/h réalisé en 4.0 sec tout rond! Sauf que je suis perché plus haut que dans la RS3, alors certes ça accélère fort, mais cela est fait dans un confort assez troublant et il vaut mieux prendre garde à sa vitesse car elle peut grimper (très) vite!

Je roule en convoi avec Arnaud, qui est au volant d’un Audi RS Q3 mais rouge. Il parait invisible tellement les badauds sont attirés par le Vert Kyalami. Moi qui suis un garçon assez monochromatique. Me voilà servi!

Audi RS4 avant

@louisleducphoto

Arrivé au circuit, il est temps de passer aux choses sérieuses! C’est parti pour quelques tours à bord de l’Audi RS4.

J’avais gardé un excellent souvenir à bord de ce break sportif par excellence. Cette version restylée n’apporte pas grand chose à part une nouvelle face avant qui adopte désormais l’identité de la gamme RS. Sous le capot, 0n retrouve le V6 2.9L biturbo de 450ch et 600Nm. Il permet de réaliser le 0 à 100 km/h en 4.1 sec.

Pourquoi je l’aime? Parce que ça ressemble à un break mais en mieux. Parce que c’est puissant et que ça accélère fort. Parce que ça se place là où le regard se porte et que tout est très naturel dans son comportement. Et que sur circuit, on a tout sauf l’impression de rouler avec un sac à dos.

ESP Off et Mode dynamic enclenché, je n’ai même pas à jouer des palettes, la tiptronic à 8 rapports arrive à m’extirper de chaque virage efficacement pour que je n’ai absolument qu’a me concentrer sur la conduite.

Est ce que la RS4 avant joue la madame parfaite? Peut être.

Audi RS5

@louisleducphoto

Même recette que la RS4 mais dans un format diffèrent.

La mécanique est la même mais elle perd son coffre si polyvalent puisque la RS5 est un coupé ( ou gagne 2 portes et un hayon en RS5 Sportback). Le V6 2.9L délivre toujours 450 ch et 600 Nm de couple. Mais l’accélération est légèrement plus rapide avec un 0 à 100 km/h en 3,9 secondes.

La vraie différence se ressent lorsque l’on tourne ( vite ). Si la RS4 était du genre neutre, la RS5 se fait beaucoup plus légère et mobile du train arrière. Remettre les gaz trop tôt entraîne une glisse qui la fait pivoter plus que de raison tout en restant facile à contrôler! Un peu moins efficace donc, mais amusante. La RS5 dévoile un autre visage.

Audi RS6 avant

@louisleducphoto

Après une première rencontre en statique de l’Audi RS 6 Avant, c’est le moment de voir ce que ça donne par la plus radicale des manières: sur circuit!

L’Audi RS6, c’est LE BREAK ULTIME. C’est absolument monstrueux et il est difficile de passer inaperçu avec une RS 6 désormais, tant celle-ci est impressionnante visuellement parlant. Et que dire quand la configuration présentée en photo est agrémentée de jantes de 22 pouces et d’une magnifique teinte bleue mate réalisée au sein des ateliers d’Audi Exclusive ?

Sous le capot, on trouve un V8 4.0L bi-turbo de 600ch et 800Nm. L’accélération est foudroyante avec un 0 à 100km/h en 3.6 sec. La puissance est transmise aux quatre roues motrices avec une répartition du couple pouvant aller jusqu’à 85 % à l’arrière et 70 % à l’avant. En condition normale, la répartition est de 60 % à l’arrière et 40 % à l’avant. Le moteur est indexé à une boîte automatique Tiptronic à huit rapports. 2150 kilos, c’est son poids, et ça n’encourage clairement pas à l’emmener sur circuit. Et pourtant…

C’est un délire. Une catapulte qui vous envoie de virages en virages avec force. et heureusement ralenti avec encore plus de force grâce aux énormes disques carbone céramique mordus par L’Audi RS 6 se jette à la corde avec vigueur et une agilité déconcertante, bien aidée notamment par les roues arrière directrices qui, via deux moteurs électriques, peuvent braquer jusqu’à cinq degrés dans le sens opposé à celles de l’avant. Le tout en vous donnant l’impression d’avoir un train arrière léger et presque mobile quand on la place suffisamment bien au freinage.

Intense. Terriblement amusante, performante et envoûtante, l’Audi RS6 Avant sera aussi capable de ramener le canapé de mémé. J’aime énormément la RS4 mais la RS6 a réussi à me mettre une claque!

Audi dévoile la nouvelle RS5 à Genève

Voici la nouvelle Audi RS5, et après avoir essayé la S5, cela donne irrésistiblement envie d’en prendre le volant!

Si le look de la S5 se rapproche d’une A5 classique, la RS5 se distingue complètement avec ses entrées d’air massive, ses phares teintés, ses arches de roues plus larges et son diffuseur à l’arrière. On a bien affaire à une RS et cela se voit. On remarquera aussi la petite lame sur la malle arrière, les grosses sorties d’échappement et les badges RS!

Elle inaugure un nouveau V6 3.0L biturbo de 450ch et 600Nm. Il permet au coupé d’abattre le 0 à 100km/h en 3.9sec et d’atteindre les 280 km/h avec le pack Dynamic qui fait sauter la bride des 250 km/h. Ce V6 est annoncé à seulement 8.7L / 100km en conso mixte et 197 gr/km de Co², un gain de 17% en terme d’efficience par rapport à l’ancienne génération. Le poids est en baisse, avec 1655 kg sur la balance, c’est 60kg de moins. A noter le toit en carbone en option qui n’y est pas pour rien.

L’intérieur respire également la sportivité avec une dominante de carbone. Derrière le volant en alcantara, il y a le fameux Virtual Cockpit et en même temps toutes les aides à la conduite que l’on retrouve dans le reste de la gamme A5.

Audi rattrape son retard sur les BMW M4 et Mercedes C63 AMG Coupé de la plus belle des manières. Elle sera disponible en juin à un tarif débutant environ à 97000 €.

Via Audi.

Photos de l’Audi RS5 2017

En même temps que la version de route, Audi a choisi de dévoiler la version DTM. Une superbe machine de course qui reprend les traits de sa sœur homologuée, la marque indique avoir développé les deux autos parallèlement.

Point de V6 ici, c’est un V8 de 4.0L de plus de 500ch qui anime la bête. Un moteur qui devra survivre pendant une saison complète de DTM.

Photos de l’Audi RS5 DTM 2017

La future Audi RS5 déjà en balade!

Après la présentation de la toute dernière A5 ainsi que sa version sportive S5, c’est la radicale RS5 qui s’est fait surprendre en pleine rue.

Déguisée en S5, cette future bombe abandonnera le V8 4,2L atmosphérique de 450 ch contre un V6 3.0L TFSI qui devrait facilement atteindre plus de 450 ch voire 500 ch! Toujours dotée de la transmission quattro et avec un poids en baisse d’au moins 60 kg, les performances devraient être détonantes!

Elle devra affronter les BMW M4 et Mercedes C63 Coupe qui sont de sérieuses adversaires. Elle ne devrait pas apparaître avant le salon de Genève 2017.

L’Audi RS5 TDI bat un nouveau record

L’Audi RS5 TDI Concept est de retour et fait parler d’elle sur le circuit de Sachsenring. En effet, il lui a fallu 1 minute 35 secondes et 35 centièmes pour réaliser un tour du circuit de 3,6 km, soit 1,7 sec plus vite que le précédant record pour un moteur diesel! Le temps a été établi par le pilote Nicki Thiim lors du Sachsenring Record Day, organisé par le magazine « Auto Bild Sportscars » et Michelin.

[quote cite=’lrich Weiß, en charge du développement des moteurs TDI’]Je suis très fier de cette excellente performance sur circuit car elle démontre le leadership de Audi en matière de développement de moteurs diesel hautement efficients et sportifs. Nous avons vraiment mis les bouchées doubles pour développer le concept Audi RS 5 TDI competition, que ce soit pour son design ultraléger, son châssis et bien sûr, son système de conduite. Nous exploitons au maximum la puissance du moteur TDI et nous y ajoutons la puissance du compresseur électrique, que nous verrons bientôt sur un modèle de série.[/quote]

Le concept Audi RS 5 TDI competition est une évolution du concept car présenté à l’été 2014, lors du 25ème anniversaire du moteur TDI. Depuis, la voiture a été développée pour une utilisation sur circuit. La puissance du moteur V6 3.0 TDI biturbo s’élève à 435 ch et 800 Nm de couple. Le 0 à 100 km/h est réalisé en 4 secondes et l’auto  atteint 200 km/h en moins de 16 secondes.

Sur ce moteur V6 TDI biturbo, l’innovation principale réside dans l’utilisation d’un compresseur électrique, en plus de deux turbocompresseurs. Le compresseur électrique assure un déploiement spontané de la puissance dès la plage des bas régimes et améliore la réactivité du moteur ainsi que les performances de façon significative. Il utilise un petit moteur électrique de 7 kW, qui fait tourner une turbine à une vitesse de 72 000 tours par minutes en 250 millièmes de secondes. Il intensifie ainsi le déploiement de la puissance indépendamment de l’énergie disponible dans les gaz d’échappement. Un turbocompresseur à gaz d’échappement prendrait deux à trois fois plus de temps pour atteindre une vitesse de rotation équivalente à ce système. Grâce à la technologie du compresseur électrique, la puissance augmente rapidement sur le concept Audi RS 5 TDI competition, quelques soient les conditions de conduite.

La source d’énergie du compresseur électrique est un sous-système électrique de 48 volts. Ce sous-système auxiliaire est une composante clé de la stratégie d’électrification de Audi. Il permet de faire circuler de grandes quantités d’énergie électrique, de façon rapide et est ainsi tout à fait adapté aux compresseurs électriques. Ces deux technologies seront bientôt produites en série.

Le concept a également fait un sérieux régime: le capot du moteur est en polymère à renfort fibre de carbone (PRFC), les portes sont en aluminium et le système d’échappement est majoritairement composé de titane. A l’intérieur du véhicule, on retrouve des sièges baquets de course en PRFC et la banquette arrière a été enlevée, dans la continuité de l’intérieur du concept et en accord avec le design ultraléger du véhicule. Des vitres en polymère et verre mince sont également utilisées.

Photos de l’Audi RS5 TDI Concept

Carton plein d’Audi pour l’ouverture du DTM 2015 à Hockenheim

Les courses de DTM se suivent mais ne se ressemblent pas. Le niveau étant tellement élevé et proche qu’il est impossible de prévoir le vainqueur d’une course. Rendant le championnat tout simplement passionnant!

La saison 2015 inaugure un nouveau format de course pour offrir aux spectateurs deux fois plus d’action. Désormais, lors de chaque événement, deux courses auront lieu, deux fois plus de plaisirs donc! Audi était le meilleur constructeur du DTM en 2014. Huit Audi RS 5 DTM ont rejoint la grille de départ en 2015, avec les mêmes pilotes que l’année dernière, dont les trois champions Mattias Ekström, Mike Rockenfeller et Timo Scheider en tête de liste. Sans oublier le Français, Adrien Tambay sur sa RS5 aux couleurs de Playboy.

Course 1 – Samedi

Pour les qualifications de la course du samedi, Jamie Green réalise la pole sur son Audi RS5 DTM avec 0,116 sec d’avance sur la Mercedes de Wehrlein. Avec 8 RS5 DTM dans le top 13, Audi montre immédiatement de solides performances. Pendant la course il n’a jamais été inquiété, malgré deux safety-car, pour décrocher la première victoire de cette saison 2015, devant les Mercedes AMG C-Coupé de Pascal Wehrlein et Paul Di Resta.

Seulement 16 des 24 voitures ont vu l’arrivée. Timo Scheider et Miguel Molina se sont percutés dès le premier tour, les obligeant à garer leurs autos au stand. Adrien Tambay sur sa RS5 Playboy a raté l’occasion de marquer des points suite à une excursion dans le bac à graviers et un contact avec Mattias Ekström, qui provoque la crevaison du Suédois. Le Français finit 15ème.

[quote cite=’Jamie Green’]J’étais aussi rapide l’année dernière mais j’étais tout simplement malchanceux lors de la course. Aujourd’hui, tout est allé parfaitement. Je suis au volant dans la même équipe, avec le même ingénieur et me suis senti à l’aise dans mon Audi RS5 DTM. Tout ce que je peux dire, c’est que je suis heureux.[/quote]

Course 2 – Dimanche

Le dimanche, le ciel menaçant a fini par craquer! Obligeant les pilotes à chausser les pneus pluies pendant la course et semant le chaos dans les stands.

Mattias Ekström a renoué avec la victoire en décrochant sa 20e victoire. Le Suédois a pris l’avantage dès le départ, il perd ensuite la tête de la course lorsqu’il chausse les pneus pluies. Le Scandinave a pu facilement reprendre les commandes face à Edoardo Mortara qui offre le doublé à Audi. Mais c’est l’Italien qui est en tête du Championnat à l’issu de la première manche.

Le podium est complété par Gary Paffett sur sa Mercedes, remonté du fond de grille. Adrien Tambay, parti dernier, et débutant pourtant une belle remontée,  abandonne suite à un contact. Un weekend définitivement à oublier pour le pilote Français.

Calendrier DTM 2015

30/04–03/05 Hockenheimring (D)
29–31/05 Lausitzring (D)
26–28/06 Norisring (D)
10–12/07 Zandvoort (NL)
31/07–02/08 Red Bull Ring (A)
28–30/08 Moscow Raceway (RUS)
11–13/09 Oschersleben (D)
25–27/09 Nürburgring (D)
16–18/10 Hockenheimring (D)

Photos du DTM 2015 à Hockenheim

Les livrées 2015 des Audi RS5 de DTM

Alors que la saison 2015 de DTM débutera le 2 mai, Audi a dévoilé la déco de ses six RS5 de course.

L’objectif est assez simple pour 2015: le titre! La marque aux anneaux peut compter sur le soutien de prestigieux partenaires.

Le groupe BP a d’ailleurs augmenté son implication, cela sera visible sur l’Audi #48 de l’Italien Edoardo Mortara avec une déco Castrol EDGE et Aral Ultimate 102. Le Suédois Mattias Ekström entamera sa 15ème saison de DTM aux côtés de Red Bull. La RS5 jaune et verte, couleurs de Schaeffler, pilotée par Mike Rockenfeller commence elle aussi à faire parti du paysage. Cocorico, le Français Adrien Tambay sera toujours au volant de sa RS5 DTM aux couleurs de Playboy.

On peut également citer 4 partenaires techniques des 8 autos: les échappements Akrapovič, les montres ORIS, les jantes OZ et les suspensions Eibach.

Quatre des huit autos (Audi Sport, Playboy, Hoffmann Group, Schaeffler) participeront aux tests DTM à Estoril cette semaine. Les quatre autres seront présentes à Oschersleben du 14 au 16 avril.

Via Audi.

Red Bull Audi RS 5 DTM #5 (Audi Sport Team Abt Sportsline), Mattias Ekström

Audi Financial Services Audi RS 5 DTM #51 (Audi Sport Team Rosberg), Nico Müller

Hoffmann Group Audi RS 5 DTM #53 (Audi Sport Team Rosberg), Jamie Green

Castrol EDGE Audi RS 5 DTM #48 (Audi Sport Team Abt), Edoardo Mortara

Schaeffler Audi RS 5 DTM #99 (Audi Sport Team Phoenix), Mike Rockenfeller

Playboy Audi RS 5 DTM #17 (Audi Sport Team Abt), Adrien Tambay

AUTO TEST Audi RS 5 DTM #10 (Audi Sport Team Phoenix), Timo Scheider

Audi Sport Audi RS 5 DTM #17 (Audi Sport Team Abt Sportsline), Miguel Molina

Audi prépare sa RS5 DTM au Portugal pour 2015

Audi Sport vient de passer 3 jours de test de la RS5 DTM sur la piste de Portimão au Portugal

Les pilotes Mattias Ekström, Nico Müller et Mike Rockenfeller ont réalisés 3600 km dans l’auto pour collecter un maximum de données. Le but est d’optimiser l’auto pour obtenir un set-up de base pour l’ouverture de la saison 2015.

Mattias Ekström et Mike Rockenfeller ont fait le gros du boulot, mais le jeune Nico Müller a eu la chance aussi de rouler, le suisse qui va commencer sa deuxième saison de DTM avec Audi en 2015.

[quote cite=’Nico Müller’]Nous avons peu d’occasions d’essais en DTM, donc les tours à Portimão étaient d’autant plus précieux pour moi. En plus, je peux toujours apprendre quelque chose en écoutant les communications radio des autres pilotes.[/quote]

[quote cite=’Mike Rockenfeller’]Dans le DTM, le diable est dans les détails. Même si la technologie des voitures a été gelé par la réglementation, le travail sur les détails ne s’arrête jamais. De plus, ça ne fait jamais de mal de faire quelques kilomètres dans la voiture. Même après tant d’années en DTM, cela aide à garder votre capacité à conduire et rester en pratique.[/quote]

[quote cite=’Mattias Ekström’]Un test de ce genre est plus ardu qu’un week-end de course parce que vous conduisez beaucoup plus. Vous essayer beaucoup de choses différentes et développer une bonne sensation de ce qui fonctionne bien et ce qui ne fonctionne pas si bien. Ce savoir-faire est très important pour la saison à venir.[/quote]

Les prochains tests auront lieu également au Portugal du 25 au 27 mars prochain sur le circuit d’Estoril cette fois.

Via Audi.

Audi Driving Experience, une journée qui ne manque pas d’R

Direction le circuit de Magny-Cours pour participer à l’Audi Driving Experience. Une journée sous le signe de la conduite sportive made by Audi.

Le principe est simple: Avoir la possibilité d’essayer les sportives d’Audi dans un cadre sécurisé et sécurisant. Et des sportives chez Audi… il y en a un paquet: S1, S3, RS4, RS5, RS6, RS7 Sportback, R8 et R8 V10… entre autres!

On commence la journée avec la petite A1 forte de ses 185ch sur le train avant! Parfait pour découvrir le tracé. Parfait aussi pour enchaîner avec la S1. Et là plus rien à voir. On découvre sans difficulté à quel point la technologie Quattro est efficace sur la S1 qui en fait une véritable bombe!

Son 2.0L TFSI de 231 ch et 370 Nm nous emmène à un rythme déjà plus rapide. Mais c’est surtout son châssis et sa transmission qui permettent d’enrouler les virages avec plus de vitesses.

On s’amuse à adopter la mauvaise trajectoire pour voir comment s’en extirpe l’auto: avec brio! Victoire Quattro!

Puis on enchaîne sur un routier, un parcours tout autour du circuit. Le but est de découvrir la gamme en effectuant des rotations entre les conducteurs.

Coup de coeur pour la RS7 Sportback qui est une véritable limousine mais son  V8 4.0L biturbo de 560ch et 700Nm la transforme en avion de chasse lorsque l’on enfonce l’accélérateur. 0 à 100km/h en 3.9 sec. Impressionnant!

Particularité que l’on retrouve sur chaque modèle: l’Audi Drive Control, qui permet de régler individuellement suspensions, direction, vitesses de boite, etc de manière plus ou moins sportive. On peut ainsi obtenir une voiture à la carte. La transmission Quattro est embarquée d’office, et la sonorité à l’échappement joliment travaillée en fonction de la motorisation.

Car les Audi Driving Experience permettent aussi de découvrir la technologie embarquée, et pas seulement envoyer du gros gaz.

Après s’être restauré, on enchaîne sur le circuit de Magny-Cours.

Première monture: la S3 et ses 300ch! Encore plus efficace que la petite S1 du matin, elle est bluffante d’efficacité. On poursuit avec la R8 V8 de 430ch qui demande déjà plus de maîtrise pour l’emmener rapidement. C’est encore pire dans la R8 V10 de 525ch qui réclame beaucoup plus de respect!

A 250 km/h avant le freinage de l’épingle d’Adelaide, autant vous dire qu’on se fait énormément plaisir au volant! C’est sans compter sans les précieux conseils des moniteurs qui sont là pour vous aider à tirer le meilleur de la mécanique.

La dernière Audi TT était présente pour une présentation statique. La ligne est résolument moderne, mais ce n’est rien comparé à son tableau de bord entièrement digital.

On termine la journée avec une cerise sur le gateau: un bapteme en R8 LMS, une version de compétition qui réponds au règlement Le Mans Series. Stephane Ortelli est notre chauffeur, l’homme a déjà gagné Le Mans, c’était en 1998. Et comme bureau cette même R8 LMS, autant vous dire qu’il la connait sur le bout des doigts.

Une voiture de course est toujours impressionnante, encore plus quand elle est amenée à la limite. Un baptême à la hauteur de la journée, parfaitement organisée par les équipes Audi. Les clients ou futurs clients qui participent à ses journées Audi Driving Experience repartent avec des souvenirs plein la tête, un énorme sourire, et surtout l’envie d’en mettre une dans le garage!

Un grand merci à Audi et la concession Audi Bauer Paris sans qui cette journée n’aurait pas été possible!

Audi RS5 TDI Concept, le diesel sportif

Après BMW qui décline sa gamme M en version diesel, Audi pourrait lui emboîter le pas avec ce concept de RS5 TDI.

Pour fêter les 25 ans du moteur TDI, Audi dévoilera au salon de Leipzig un concept RS5 TDI. Sport et diesel? Audi est la marque qui domine Le Mans depuis plusieurs années avec ses moteurs TDI après tout! On avait déjà vu également la R8 V12 TDI qui était resté un concept et le SQ5 TDI sorti en série.

Sous le capot, on trouve un V6  3.0L diesel biturbo assisté électriquement pour supprimer le lag. Le résultat est une puissance de 385 ch pour un couple de 750 Nm. Ce bloc est associé à une boite automatique à huit rapports ainsi qu’à une transmission intégrale Quattro.

Les performances annoncées sont une vitesse maximale supérieure à 280 km/h, un 0 à 100 km/h d’environ 4,0 sec ainsi qu’une consommation moyenne inférieure à 5,0 litres aux 100 km.

La technologie « Audi Electric Audi » se retrouvera bientôt en série, pour la voiture en entier… mystère!

Audi RS5 Cabriolet 2013

Audi dévoile la RS5 en version cabriolet, une voiture qui va rendre fou votre coiffeur!

On retrouve sous le capot le V8 4.2L FSI de 450ch et 430Nm. Elle accélère en 4,9sec de 0 à 100 km/h. Sa vitesse maximale est limitée à 250 km/h, mais peut être portée en option à 280 km/h. Le puissant V8 se contente en moyenne de 10,9 litres/100 km. Les chemises des cylindres et l’entraînement par chaîne ont été optimisés en vue de minimiser la friction ; la pompe à huile ne fonctionne que lorsque cela est nécessaire. Il est associé à la S tronic à sept rapports.  Le conducteur peut opter pour les modes automatiques ou passer lui-même les vitesses via le levier de sélection ou les palettes sur le volant. Le Launch Control permet des démarrages types boulet de canon.

La transmission est intégrale permanente quattro, et sur demande, Audi propose le différentiel quattro sport, qui répartit activement le couple entre les roues arrière à l’aide de deux réducteurs planétaires. Complétant à la perfection la chaîne cinématique quattro, il plaque la RS 5 Cabriolet dans le virage dans les plages limites et compense immédiatement la moindre tendance au survirage ou au sous-virage. Et tout cela réalisable cheveux au vent…

Les premières livraisons auront lieu en mars 2013.

Photos de l’Audi RS5 Cabriolet 2013

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